Vente d’œufs et de volailles tous les jeudis soir à Coaraze

La Ferme Galli’Nice installera son stand de vente d’œufs et de volailles tous les jeudis de 16h30 à 19h30 à Coaraze, entre la Place Sainte Catherine et le chemin menant à l’école.

Galli’Nice c’est Théo, Amandine et Virginie. Contrairement à ce que son nom indique, Galli’Nice n’est pas une entreprise niçoise mais une exploitation agricole Contoise, installée à la ferme des Garfes à Contes.

La ferme des Garfes est un bien de la Communauté de Commune du Pays des Paillons. Galli’Nice est un jeu de mot à partir du mot latin gallinis qui signifie volaille.

 

 

Des vacances de Toussaint sur le thème d’Halloween à l’APEEC

Malgré les protocoles sanitaires, les vacances de Toussaint se sont bien déroulées à l’APEEC avec de nombreuses activités proposées : cuisine, potion magique, chasse aux bonbons, handball, tournoi de baby-foot…

Une vingtaine d’enfants a quotidiennement fréquentée la structure durant ces deux semaines, accueillis par l’équipe d’animation composée d’Allison, Priscilla, Clémentine, Rémy, Simon et Benoit.

Juste avant le confinement, les ados ont pu participé à une sortie sur un site d’escalade indoor et participer à un Escape Game.

 

Mot de Madame Le Maire face à l’actualité

Et si on décompressait !

“Bonjour à toutes et à tous,

J’aurais pu vous rappeler toutes les consignes de mesures barrières, toutes les interdictions en cours pour enrayer la propagation du virus, toutes les mesures de protection prises dans le cadre de Vigipirate.

J’aurais pu vous infliger des pourcentages, des chiffres alarmants sur les admissions en réanimation et les décès quotidiens.

J’aurais pu vous rappeler les contraintes du confinement, qui remplacent celles du couvre-feu.

J’aurai pu vous parler des catastrophes climatiques de plus en plus violentes et qui nous touchent de près.

J’aurai pu vous parler du matraquage médiatique qui fait grimper les audiences, le doute, le manque de confiance et la peur en même temps ; des réseaux sociaux qui déversent leurs fausses nouvelles à longueur de journée.

J’aurais pu vous expliquer le poids liberticide de l’état d’urgence sanitaire établi jusqu’au printemps 2021.

J’aurai pu vous parler du désastre économique qui s’annonce et des conséquences qui suivront.

J’aurai pu vous parler de la violence sociale, de la haine envers celui qui est différent et qui entraine des amalgames insensés, de la démocratie en danger, de la mise à mal de la liberté d’expression et de la culture par ces temps de Covid.

En gros j’aurai pu vous saper le moral !
Mais je ne le ferai pas.

 

Dans ce monde déboussolé, tout nous parait compliqué, incompréhensible, trop rapide, trop violent. Le monde semble se déliter sous le poids des pressions diverses que l’on ne maîtrise plus comme avant !

Alors, on se laisse couler ?
Sûrement pas !

Parions sur l’espoir. Un espoir nourri de petits bonheurs qu’il faut savoir saisir et apprécier ici et maintenant.
Il ne s’agit pas de se voiler la face, de tourner le dos à la réalité, il s’agit de penser différemment, d’agir autrement, de positiver coûte que coûte et d’agir avec simplicité et rationalité.

L’être humain, comme tous les êtres vivants, a une capacité extraordinaire d’adaptation à son environnement changeant, une sorte de réflexe de survie ! S’il n’en faisait pas usage maintenant, plus dure serait la suite… il faut garder l’espoir.

Espoir que la recherche médicale puisse progresser rapidement grâce à une coopération internationale efficace déjà effective.

Espoir qu’une solidarité, déjà largement démontrée par une grande majorité de citoyennes et citoyens, évite un clivage social déstabilisant.

Espoir de paix face à des individus fanatiques et barbares qui veulent entraîner la grande majorité des gens, qu’ils soient catholiques, orthodoxes, juifs, musulmans ou athées dans une spirale de violence. Mais ils ne pourront pas car la liberté d’expression est inaliénable.

Espoir de voir appliquer une nouvelle gouvernance au sein des instances décisionnelles qui respecteraient les citoyennes et citoyens sans les infantiliser, qui agiraient en toute transparence, qui essaieraient de regagner leur confiance.

Espoir de voir se multiplier les expériences, les initiatives nouvelles – et il y en a beaucoup mais on en parle peu – pour mieux manger, mieux construire, mieux gérer les ressources, mieux éduquer, mieux vivre ensemble.

Oui, j’ai peur de contracter la maladie ou de la transmettre à mes proches à mon insu, donc je respecte les gestes de protection sanitaire (et non de barrière !)

Oui, j’ai peur de ne plus pouvoir rencontrer les gens que j’aime, de rester seulˑe sans mes liens habituels ; donc je cherche autour de moi de nouvelles connaissances, des voisins attentionnés.

Oui, j’ai peur de perdre mon emploi ; donc je cherche ailleurs si je peux ou je me tourne vers les administrations pour une aide.

Oui, je n’ai plus confiance en ceux qui nous dirigent – trop d’hésitation et d’erreurs non reconnues -, ni en les scientifiques qui étalent leurs désaccords entre eux… donc je découvre que trop d’informations peut tuer l’information et je prends du recul.

Nous sommes capables de surmonter ces difficultés. Il y en aura d’autres !
Ralentir, réfléchir, raisonner, rêver surtout, voilà de quoi passer son temps de confinement en positivant.”

Monique Giraud-Lazzari

Maire de Coaraze

Sécurisation de la zone sud-est des Faïsses

En aval du village, la zone Sud Est des Faïsses jusqu’au Saussettes est situé dans un secteur identifié comme soumis aux aléas de chute de blocs, de glissement de terrain et de ravinement au Plan de Prévention des Risques Naturels de la commune.

Lors des événements pluvieux des 23 et 24 novembre 2019 à nouveau, un glissement de terrain et la formation d’une coulée boueuse se sont produits sur la route des Faïsses au droit de terrains construits.

Des mesures conservatoires de purge et de rétablissement de la circulation ont été réalisées dans l’immédiat.

Par suite, le diagnostic mené par le bureau géotechnique Sols Essais, a conduit à une opération visant à la sécurisation :

  • du talus amont, par un ensemble d’actions d’ancrage des murs existants, de déroctage, de mise en place de filets dynamiques, de reprise et placage d’un ancien filet avaloir
  • du talus aval de la route, par un confortement en gabions.
  • Le montant prévisionnel de l’opération atteint 346 361 € HT. La recherche de financements a permis sa couverture à hauteur de 70 % par le Département, l’Etat et la Région.

    L’appel d’offres a conduit a retenir l’entreprise Garelli (178 130 € ) spécialisée dans les travaux en paroi, pour la sécurisation du talus amont.

    L’entreprise Zugliani a elle été retenue (71 140 €) pour les travaux de gabions.
    Le bureau géotechnique Sols Essais assure la maîtrise d’oeuvre (18 841 €).

    Après la mise au point générale du 25 août entre la commune maître d’ouvrage, le maitre d’œuvre et les entreprises, une réunion de quartier sur les lieux, le 9 septembre a présenté le déroulement du chantier aux riverains. Des conventions de mise en place des ouvrages entre les propriétaires et la commune ont été signées.

    Depuis la mi septembre l’entreprise Zugliani travaille à la mise en place, désormais bien avancée, des gabions.

    L’entreprise Garelli, mobilisée par les suites de la tempête Alex, est attendue.

    >> Plus d’infos sur la Sécurité et la Gestion des risques à Coaraze

    Travaux d’entretien et de rénovation dans le village

    Un chantier longtemps attendu vient de se terminer  : le trou qui s’était créé sous la place du château, côté nord, à proximité du point d’arrivée du treuil a été comblé !

    Une opération menée par l’entreprise Polchi dans le respect des normes techniques – ancrage dans le rocher d’une “semelle” de béton ferraillée pour base d’élévation du mur – et esthétiques – reprise du mur en pierres de Savel jointées au mortier de chaux, conformément aux prescriptions de l’architecte des Bâtiments de France.

    Après la reprise de “l’échauguette” l’an passé, c’est peu à peu que le mur du château se trouve remis en valeur.

    Dans la continuité de la rénovation des portillons et de la rambarde de la place du château, les efforts d’entretiens se poursuivent.

    Antoine s’est attaché à la peinture des rambardes du cimetière , et avec l’entreprise Fers et des Fers à la réfection du lieu du souvenir. Jean-Pierre et Philippe ont mis au propre les allées du cimetière avant la Toussaint.

    Interdiction de stationner Avenue des Calinaïres du 5 au 6 novembre

    Suite à la dernière réunion de chantier du parking Nord, il est prévu de mettre en œuvre le coulage de la dalle du premier niveau. L’opération aura lieu le vendredi 6 novembre de 6h30 à 16h00.

    Afin que les engins – pompe à béton et noria toupies – puissent accéder et stationner dans le virage à proximité du chantier, la Montée du Portal sera fermée toute la journée depuis l’embranchement de la Place Sainte Catherine.

    LE STATIONNEMENT EST DONC INTERDIT AVENUE DES CALINAÏRES

    DU JEUDI 5 NOVEMBRE 16H00 AU VENDREDI 6 NOVEMBRE 16H00

    Chacun est appelé à respecter ces consignes pour faciliter le déroulement le moins contraignant possible de l’opération.

    >> Plus d’infos sur le projet du parking Nord

    Rénovation de la performance énergétique au Pôle Accueil Jeunesse Enfance (PAJE)

    Amorcé lors du précédent mandat municipal, le renouvellement du système de ventilation du bâtiment accueillant la médiathèque, la salle polyvalente, la micro-crèche Li Estèlas et le CLSH (Centre de Loisirs Sans Hébergement) a touché à sa fin.

    Plusieurs éléments croisés sont à la genèse de ce projet :

    • l’aspect écologique et financier visant à utiliser de façon efficiente l’argent public
    • une opportunité de financement par l’Etat dans le cadre d’une DSIL (Dotation de Soutien à l’Investissement Local) disponible pour des travaux d’amélioration de la performance énergétique
    • les surchauffes hivernales et estivales ressenties par les usagers du PAJE
    • la résolution de problèmes techniques de plus en plus récurrents
    • le besoin de rationaliser la maintenance des équipements par une véritable exploitation de tous les appareils

    Il y a eu une succession de problèmes techniques au niveau de la chaufferie de l’école, qui alimente également en chauffage le pôle jeunesse, avec :

    • des pannes répétées sur la chaudière à gaz âgée de 20 ans qui consomme beaucoup au regard des normes actuelles
    • une chaudière murale, ajoutée en 2009 lors de la construction du pôle, qui n’a jamais vraiment été opérationelle
    • le chauffe-eau gaz, datant lui aussi de la construction de l’école (2000), ne fournissant plus d’eau chaude pour la partie école

    Au niveau du PAJE :

    • quatre appareils différents pour la ventilation dont 2 extracteurs à l’arrêt parce que trop bruyants, d’où une absence de renouvellement d’air
    • Le chauffe-eau solaire à l’arrêt en l’absence de réparateur qualifié et par voie de conséquence une eau chaude sanitaire chauffée uniquement à l’électricité

    Les objectifs de ce projet :

    • améliorer le confort thermique et aéraulique sur le PAJE aussi bien en hiver que pendant la saison estivale
    • changer de chaudière et passer à l’énergie bois
    • renouveler un contrat d’exploitation intégrant l’ensemble des éléments impliqués dans le chauffage et l’aéraulique de l’école et du PAJE y compris le chauffe-eau solaire
    • saisir l’opportunité de financement

    Avec le concours du cabinet Atiane Energie, situé à Contes, qui connaît bien le sujet (il avait réalisé l’audit pour la rénovation énergétique de l’école), une étude a été menée afin de dimensionner les appareils dont nous avions besoin et préparer l’appel d’offres. Le cabinet, représenté par M. Fontaine, nous a aussi accompagné durant toute la phase des travaux avec intelligence et rigueur.

    La société Sermatech a été retenue pour réaliser l’ensemble des travaux comprenant:

    • un lot chaufferie avec l’installation d’une chaudière à granulés ayant un rendement meilleur, un impact écologique plus sain et un retour sur investissement de 12 ans, l’audit et la remise en service de la chaudière gaz murale pour venir renforcer au besoin la chaudière à granulés d’une part et pallier à un éventuel dysfonctionnement de celle-ci d’autre part.
      A noter qu’a été fait le choix de dimensionner la chaudière à granulés, en anticipant la construction d’une future cantine avec cuisine réalisée sur place et présentant des besoins en eau chaude supérieurs à la situation actuelle.
    • un lot ventilation avec la reprise de l’installation de ventilation existante pour l’adapter à une seule CTA (Centrale de Traitement d’Air) double flux placée dans le local technique derrière la crèche. Le système double flux permet à la fois d’impulser de l’air neuf en utilisant la chaleur de l’air extrait du bâtiment. Il permet également d’effectuer un rafraîchissement de l’air dans le bâtiment pendant les nuits d’été.

    Il y a eu quelques difficultés d’approvisionnement des machines du fait de la Covid, d’où des délais prolongés. Par ailleurs, l’encombrement de la CTA initiale trop important par rapport à l’espace disponible dans le local technique, a contraint l’entreprise à rechercher une solution de remplacement.

    L’ensemble Chaufferie a été installé et mis en service mi-septembre avant la saison hivernale; la chaudière a été déclenchée le 9 septembre et mise en service effective mi-octobre. La CTA réceptionnée le 22 octobre sera également mise en service après quelques tests le 2 novembre.

    Le contrat d’exploitation de l’ensemble des éléments est repris par Sermatech permettant d’avoir une vue d’ensemble des différents appareils et une homogénéité de leur fonctionnement.

    Informations financières

    Montant total de l’opération : 152 370€ TTC

    Financé par (en TTC) :

    • Etat – DSIL : 40 971€ soit 27%
    • Région PACA : 26 100€ soit 17%
    • Département : 24 533€ soit 16%
    • Commune : 60 715e soit 40% (dont 25 040€ de TVA récupérable)

    Dépenses par poste (en HT) :

    • Chaufferie bois : 83 902€
    • Ventilation : 25 246€
    • Ingénierie : 16 200€

    Retour sur le concert de Sam Karpiena et Pauline Willerval

    Samedi soir 26 septembre la chaleur de l’ambiance compensait la fraicheur de la température pour les Coaraziennes, Coaraziens et leurs amiˑes qui se sont retrouvées au jardin Piovano.

    Au départ, Lucien Massucco propose à Sam de faire un disque sur son nouveau label “Fatto in casa” : un disque de Sam Karpienia et pas de Dupain. Sam propose alors de reprendre les textes de “L’Usina” sorti en 2000: des chants ouvriers puissants lancés contre la vague capitaliste, portés par la voix enfiévrée de Sam Karpienia.

    En 2018, Sam rentre solo en résidence à Coaraze. Une semaine plus tard, l’artiste décide d’y joindre Pauline Willerval qui joue de la Gadulka, un violon bulgare à la sonorité typique. Elle fait partie de plusieurs groupes et partage souvent la scène avec Rodolphe Burger ou Erik Marchand.

    L’Usina nouvelle version est donc revenue chez les ouvriers. Les moyens ne sont pas les mêmes mais la créativité est intacte. Moins brutal, moins direct qu’avec Dupain, cette création est plus intimiste, plus personnelle et va exploiter d’autres sphères. Portée par les cordes des mandoles et d’un violon bulgare, cette véritable création prouve encore la richesse d’un artiste toujours aussi inventif, engagé et généreux.

    Pour celles et ceux qui ont eu le bonheur de voir – et surtout d’entendre – Sam Karpiena le 26 septembre dernier sous les oliviers de Piovano de Coaraze à l’occasion de la sortie de son nouvel album “Basta de Trabalhar”… et pour les autres qui l’on raté, cet article sur www.france3-regions.blog.francetvinfo.fr/ecoute-voir

    >> Plus d’infos sur www.fattoincasa.fr

    Un moment rare de poésie mise en musique à Coaraze

    Jacques Henri écrit depuis des années de la poésie. Poèmes qu’il souhaitait pouvoir accompagner musicalement lorsqu’il les récite. Et la rencontre tant attendue s’est produite l’été dernier, quand Lucien Massucco a mis en relation Jacques Henry et Jean-Louis Ruf.

    Une semaine en résidence à la salle Guïu Pelhon, du 19 au 24 octobre, a permis au trio formé par Jacques Henri, Jean-Louis Ruf et Lucien Massucco, de mettre en musique 35 textes du premier recueil de Jacques “Barrissements”.

    Vendredi 23 octobre, une écoute des enregistrements – suivie d’un échange autour du travail réalisé – offerte au public a permis aux privilégiés qui ont fait le déplacement jusqu’au sommet du village de goûter un moment rare.

     >> Plus d’infos sur www.uncertainjacques.fr

    COVID-19 – point sur la situation dans les Alpes-Maritimes

    Face à une situation sanitaire qui continue de se dégrader, des restrictions de déplacement entrent en vigueur sur le territoire métropolitain et en Martinique.

    À compter de 0h00, dans la nuit du jeudi 29 octobre au vendredi 30 octobre, les déplacements non-essentiels ne sont plus autorisés. Le non-respect de ces mesures entraine :

        • Première sanction : une amende de 135 euros, majorée à 375 euros (en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l’avis de contravention)
        • En cas de récidive dans les 15 jours : une amende de 200 euros, majorée à 450 euros (en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l’avis de contravention)
        • Après 3 infractions en 30 jours : une amende de 3750 euros et une peine de 6 mois d’emprisonnement.

       

    • >> Plus d’infos sur www.gouvernement.fr/info-coronavirus

    >> Attestations à télécharger sur www.interieur.gouv.fr/Attestations-de-deplacement

    Vous pouvez également rester informé:

    • en visitant la page Actualités du site de la Préfecture des Alpes-Maritimes

    www.alpes-maritimes.gouv.fr/Actualites/COVID-19

    • en vous abonnant aux comptes des réseaux sociaux de la Préfecture des Alpes-Maritimes

    facebook.com/Prefecture06

    twitter.com/prefet06