Retour sur le concert de l’Orchestre de Cannes du 29 juillet

Après l’arrivée du camion technique vers 15h15 ce mercredi 29 juillet, puis de la livraison du piano, ici au main de l’accordeur, le car des musicienˑnes arrive vers 18h15.

Les artistes se répartissent ensuite dans les loges installées dans différents locaux communaux – salle polyvalente, salle EVS/ados, bureau du directeur et réfectoire de l’école – avant de se restaurer. Les plats – salades, charcuteries, tartes salées et sucrées – préparés par Stéphanie, la nouvelle gérant du bistrot Lo Castel, rencontrent un vif succès.

A partir de 20h30, le public d’environ 120 personnes se placent pour assister au concert en plein air installé sur le terrain Piovano par l’équipe des bénévoles, des agents et de certains élus communaux.

L’heure du concert approchant, les artistes se préparent et prennent place à la nuit tombée.

Pendant plus d’une heure, la magie opère jusqu’à minuit passé. Les applaudissements nourris du public closent cette magnifique soirée estivale offerte par le Département des Alpes-Maritimes.

L’équipe technique de l’Orchestre de Cannes démonte et charge tout dans leur camion, prêt à partir pour le prochain concert prévu à Saint-Martin-Vésubie.

Une fourmi de 18 mètres au jardin d’enfants

Elle ne mesure pas 18 mètres notre fourmi-toboggan du jardin d’enfants… mais les poètes ont toute licence pour rêver… d’autant que Robert Desnos écrivit ce court poème en 1943 ou 44, bien des années avant l’arrivée du toboggan Coarazien.

Traduit en niçart par Joan-Pèire Baquié, le poème de Desnos figure aujourd’hui à la porte du jardin d’enfant, dans l’oliveraie Piovano, rappelant à toutes et tous, petitˑes et grandˑes, la double labellisation de Coaraze,  “Villages en poésie” et “Òc per l’occitan”.

LA FOURMI

Une fourmi de dix-huit mètres
Avec un chapeau sur la tête
Ça n’existe pas, ça n’existe pas.
Une fourmi traînant un char
Plein de pingouins et de canards
Ça n’existe pas, ça n’existe pas.
Une fourmi parlant français,
Parlant latin et javanais
Ça n’existe pas, ça n’existe pas.
Et pourquoi pas ?

Robert Desnos

LA FORNIGA

Una forniga de dètz-e-uech mètres
Emb’un capèu sus la tèsta
Aquò existe pas, aquò existe pas.
Una forniga estirassant un carri
Clafit de gassasmarini e d’ànedas
Aquò existe pas, aquò existe pas.
Una forniga parlant francés
Parlant latin e javanés
Aquò existe pas, aquò existe pas.
E perqué pas ?

Joan-Pèire Baquié
d’après Robèrt Desnos

À écouter…
“La Fourmi” par Robert Desnos
“La Fourmi” par Juliette Gréco

La place Sainte Catherine se refait une beauté

Depuis quelques jours, la place Sainte Catherine arbore des bancs dont les assises ont été entièrement refaites et repeintes par les agents communaux, Ophélie et Antoine, qui ont mis toutes leurs compétences au service du projet.

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La Fontaine fait également peau neuve, avec une étanchéité et un système électrique totalement revue. La réfection des systèmes d’alimentation et d’évacuation de l’eau, avec la pose d’un minuteur, a permis la remise en eau et un fonctionnement optimisé. Elle est aujourd’hui en alimentation autonome.

Après une taille printanière significative, les oliviers de la place sont maintenant chaussés de galets blancs.

Discours de la cérémonie de la Fête Nationale du 14 juillet

“Mesdames, Messieurs
, Chères Coaraziennes, chers Coaraziens,

Nous voilà réunis, en ce 14 juillet 2020, devant le drapeau français, pour réaffirmer notre fidélité à la République française et à ses valeurs Liberté-Égalité- Fraternité, et rendre hommage à ceux qui sont morts pour elles. Merci à toutes et à tous d’être présents ici, en cette date si symbolique.

Commémorer le 14 juillet, c’est affirmer notre attachement à l’Histoire de la France, à la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen qui inspira nombre de démocraties dans le monde. C’est redire notre attachement à la République qui vit le jour en 1792. La fête nationale célèbre le grand souffle de liberté, le grand besoin d’égalité, l’aspiration à une solidarité d’actions autour desquels la République s’est construite en France.

Historique

Le 14 juillet, c’est le souvenir de la prise de la Bastille en 1789, laquelle incarnait le symbole du pouvoir absolu déchu. Le 14 juillet 1789 fut reconnu tout de suite comme une date importante, puisqu’elle fut choisie l’année suivante pour célébrée la Fête de la Fédération.

Oubliée aux XVIIIe et XIXe siècles, ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle et après de longs débats qu’une loi légalisa la date du 14 juillet comme Fête nationale.
S’inscrivaient donc sur le fronton des édifices publics la devise«Liberté, Égalité, Fraternité », héritage du siècle des Lumières, invoquée par la Révolution française et retenue par la République.

Cet évènement eut un retentissement sans équivalent en Europe et il est l’acte fondateur de la démocratie sur notre continent, mais aussi l’intérêt pour le progrès technique, l’innovation, la liberté individuelle, les droits de l’homme, le marché.

Démocratie !

Cette démocratie si forte et si fragile à la fois qui a permis de renverser le principe du pouvoir absolu détenu entre les mains d’une seule personne auto proclamée, discréditée par absence de projet d’avenir, totalement coupée du peuple dans ses mœurs comme dans sa pratique politique.

Cette démocratie à laquelle les pays en déficit aimeraient accéder.
 Cette démocratie que les pays qui en jouissent doivent veiller à conserver. Cette forme de pouvoir qu’est la démocratie peine à résister ici et maintenant au XXIe siècle à d’autres modèles émergeants qui n’ont rien de démocratiques car elle ne peut survivre sans évolution, sans modification, sans adaptation.

Elle a permis de démilitariser la conquête du pouvoir : on ne lève plus une armée pour prendre le pouvoir.
Elle a instauré – progressivement (en témoigne le droit de vote des femmes qui a dû attendre l’après-guerre de 39-45) – le suffrage universel qui est une conquête majeure, c’est la loi du nombre.
Et elle rend une personne responsable, encadrée par des déléguéˑes.

La souffrance des petites gens, l’injustice, avaient atteint un point de non retour, qui s’est conclu par la remise en cause du pouvoir d’un seul, le roi en l’occurrence, par l’abolition des privilèges, par quantité de droits nouveaux, mais aussi, face aux résistances des pouvoirs en place, par un bain de sang et certaines dérives totalitaires que la terreur a autorisées.

231 ans après, les temps ont changé et la démocratie, la liberté, l’égalité n’ont jamais été autant en danger. La démilitarisation, le suffrage universel et la délégation de pouvoir, l’individualisme, le capitalisme arrivent à épuisement et ne suffisent plus à garantir les bases du vivre ensemble en garantissant les valeurs de la République. Nous vivons des temps très troublés.

La crise du COVID 19 dans laquelle nous pataugeons encore, accentue le malaise de la population et notamment des plus fragiles. C’est le moment de faire preuve d’imagination, d’audace pour corriger les malfaçons de la mondialisation débridée, pour faciliter la transition vers des sociétés plus durables et plus justes, pour réinventer la démocratie.

Toutes les grandes crises, à travers l’histoire, ont ouvert des parenthèses pendant lesquelles des réformes courageuses, radicales, indispensables étaient possibles pour améliorer le système. Mais ces parenthèses ne durent pas indéfiniment.

Une nouvelle révolution pourrait être à l’ordre du jour : une révolution raisonnée et raisonnable maintenant ! Nous savons bien qu’après une crise comme celle que nous vivons, des changements sociétaux peuvent être envisagés… mais il faut que l’État inspire confiance !

Avant la pandémie, nous vivions dans des sociétés fondées sur le contrôle, la minimisation du risque, la réduction de l’incertitude ; et puis la Covid 19, cette inconnue, vient ébranler toutes nos convictions. Nous avons la technologie, la prospérité, les lois et les institutions, la science, la maîtrise. Toute notre civilisation moderne semble tendre vers l’abolition de l’incertitude. Alors pourquoi aurions-nous encore besoin de la confiance ? peut-on encore faire confiance ? et à qui ?

Parce que, depuis que le virus a mis le monde à genoux, en l’espace de trois mois, nous sommes obligés de faire confiance à des virologues que nous ne connaissions ni d’Adam ni d’Ève, dont les avis régentent notre quotidien. Nous
sommes obligés de faire confiance à des politiques dont les décisions ont une incidence directe, concrète et sans précédent sur notre existence. Nous sommes obligés de faire confiance à nos semblables, afin qu’ils respectent les règles sanitaires et les distances de sécurité…

La confiance est une force innée que nous avons en nous, qui nous permet de composer avec l’incertitude que nous devons accepter pour vivre notre vie !
Nous vivons dans l’incertitude ; nous l’avions un peu oublié, le virus nous l’a rappelé !

Or, depuis le déconfinement, nous assistons plus à des manifestations de défiance que de confiance : contre les gouvernements, la police, les puissants, les médias, la science les chercheurs ! La colère était là avant la pandémie, avec la crise sociale qui s’annonce longue et pesante, elle risque de s’amplifier.
Dans l’urgence, le droit est chahuté, la constitution bousculée, mais il faut nous montrer responsables et patients.

Faut-il pour autant rester silencieux, apathiques, voire éteints politiquement pour le bien de tous et le salut de la nation ? Il revient à nous, élus du peuple, de réveiller en permanence la conscience collective, de la ranimer, de la raviver. C’est ce que je fais ici avec vous comme témoin.

Je vous souhaite à toutes et à tous un beau 14 juillet, ensoleillé dans vos cœurs.

Vive 1789, vive la République, vive la France, Vive Coaraze ! ”

Monique Giraud-Lazzari
Maire de Coaraze

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Retour sur le concert de l’Ensemble Baroque de Nice du 10 juillet

Une fois de plus la magie a joué en cette soirée du 10 juillet. Les pierres ou les enduits colorés des façades, la douceur estivale, la nuit qui tombe lentement et la musique.

Et quelle musique ! Antonio Vivaldi, interprété par des musiciennes et musiciens de l’Ensemble Baroque de Nice. L’Ensemble n’avait pas joué à Coaraze depuis six ans et il nous a magistralement démontré qu’il est toujours l’un des tout meilleurs d’Europe dans son domaine.

La soirée était une sorte de première : premier concert post-confinement à Coaraze, avec la perspective d’autres rendez-vous en juillet et août ; première représentation en public depuis le déconfinement pour Gilbert Bezzina et les musienˑnes de l’Ensemble.

Et le public était au rendez-vous (dans le respect des gestes barrière), Coaraziennes et Coarazien bien sûr, mais aussi venu de la vallée et de Nice pour ce rendez-vous exceptionnel rendu possible grâce au maintien par le Département des Soirées Estivales 2020.

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Retour sur les célébrations de la Saint-Jean-Baptiste

Longtemps incertaine, tant les mesures liées au déconfinement étaient fluctuantes et imprécises, la tenue de la Fête Patronale de la Saint-Jean a finalement été partiellement possible pour annoncer l’été!

Les gestes barrière ont du être respectés lors de l’embrasement de la Jòia du samedi soir.

Ce fut également le cas lors de la cérémonie du dimanche matin, pour la messe, la procession et le dépôt de gerbe au Monument aux Morts.

Madame le Maire, ses conseillères et conseillers, ainsi que Monsieur Francis Tujague – conseiller départemental, vice-président de la CCPP et Maire de Contes – ont présenté un premier bilan des quelques mois passés depuis les élections municipales, et reparlé des projets pour la commune.

La cérémonie s’est ensuite prolongée autour d’un apéritif d’honneur sous le préau de la Place du Château.

Une Saint-Jean bien particulière, qui a néanmoins largement rassemblé les Coaraziennes et Coaraziens, toujours prêtˑes à s’émerveiller au spectacle des flammes s’élevant au cœur du vieux village dans la douceur d’une première nuit d’été, et toujours attachéˑes à marquer de leur présence l’hommage aux disparus.

Réfection du lavoir du village par l’association Les Vieilles Pierres

Si elle est la plus récente, l’association Coarazienne « Les Vieilles pierres » n’en est pas pour autant la moins active.

Pour preuve, la remise en beauté du lavoir communal ce premier samedi de juillet : nettoyage au karcher, reprise de la couverture avec remplacement des tuiles cassées, application de lasure sur toutes les parties de structure en bois.

Attachéˑes au patrimoine du village, les membres de l’association n’ont pas ménagé leur peine et, à la satisfaction du travail accompli est venu s’ajouter la satisfaction d’entendre des visiteurs de passage admiratifs de la beauté du village.

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Discours de la cérémonie de la Saint-Jean-Baptiste du 28 juin

“Monsieur le conseiller départemental, vice-président de la CCPP
Mesdames, Messieurs les éluˑes
Mesdames, Messieurs

Je vous remercie de votre présence aujourd’hui sur cette place du château qui a connu des fêtes de la St-Jean bien plus pétillantes que celle que nous célébrons maintenant, les contraintes des évènements du COVID 19 étant encore applicables. Après cet épisode inédit, violent, et liberticide, il était important de pouvoir se retrouver et de chasser un instant cette chape de plomb de nos têtes.

Bien entendu, nous avons obtenu l’autorisation de la préfecture pour cette manifestation, mais les mesures d’hygiène sanitaire que nous connaissons doivent être respectées et je compte sur vous pour vous protéger et protéger les autres.

Merci d’être là pour rendre hommage à nos soldats morts pour la France, des soldats qui ont connu des situations angoissantes plus terribles que ce que nous venons de vivre. Ce devoir de mémoire fait partie de la fête patronale et de la tradition : associer ceux qui sont morts pour notre liberté à ceux qui vivent cette liberté. Une pensée pour ceux que nous avons perdus ces mois derniers, en particulier pour Hugo, un fidèle de nos cérémonies et pour Bernard, victime du Covid.

Nous aurions pu annuler cette fête de la St-Jean ! mais dans ces situations étouffantes, lourdes dans lesquelles nous a placé le Covid 19 et les mesures Vigipirate toujours en vigueur, un brin de respiration sans masque ne peut qu’être bénéfique pour tous.

La raison et le bon sens doivent supplanter la peur, même si les incertitudes persistent et la prudence reste nécessaire, le virus doit être combattu mais ne doit pas nous empêcher de vivre notre vie peut-être différemment qu’avant.

Pas de bal, pas d’aubades, mais le plaisir de nous retrouver après 3 mois de confinement, de pouvoir partager nos idées, nos impressions : nous ne sommes pas faits pour rester seul quoique nous en pensions. Un poète anglais du 16e siècle disait en pleine fièvre : « aucun homme n’est une île ».

L’organisation de cette fête de la St-Jean, première fête patronale sous la nouvelle mandature et avec un nouveau comité des fêtes bien rajeuni est bien évidemment assez frustrante pour tous et particulièrement pour notre nouveau président Ivan Rohaut et les membres du comité qui ont de l’énergie à revendre. Mais ce n’est que partie remise, les décisions préfectorales évoluant de jour en jour une possibilité de liberté d’entreprendre est envisageable, espérons-le, pour le 15 août et la fête de l’olivier.

Des généralités, des évidences, des lieux communs sur le COVID j’aurais pu en faire un discours… pas autant que les médias cependant, qui nous ont matraqués d’informations. Et on sait très bien que trop d’information tue l’information. La seule chose qui est certaine, ce sont les conséquences importantes et inconnues encore qui nous attendent globalement et localement. Conséquences sanitaires ; conséquences économiques, écologiques, humanitaires. Et les conséquences sociales qui portent à réflexion. Et je vous fais part des miennes.

Moi et les autres !

Dans notre intimité, dans notre rapport aux autres, dans notre quotidien, à l’école au travail, entre amiˑes, le virus est là ! Comment renouer des liens sans se toucher ? C’est notre manière de partager nos joies, nos peines, surtout nous les méridionaux ! Vous avez remarqué comment nous nous sentons gênéˑes de ne pas nous serrer la main, de ne pas nous embrasser ! C’est notre tradition, notre rituel. Même St-Jean est suspecté d’être contagieux ! Pas de bises pour lui !

Notre culture, depuis la nuit des temps, n’a jamais tenu compte des bactéries et des virus dans notre relation aux autres. Maintenant il n’est pas facile de considérer ses amiˑes et les membres de sa famille comme des menaces potentielles et nous-mêmes des menaces potentielles pour elles et eux. C’est plus facile de faire passer les étrangers, les marginaux pour des menaces pour notre bien être !

C’est par le toucher que nous acceptons l’autre et par l’absence de contact que nous l’excluons et témoignons notre indifférence. Et c’est par un contact violent que nous l’expulsons de notre société. Notre convivialité se trouve entravée par la peur de la contamination. Comment ouvrir une porte sans penser tout de suite : « où est mon gel désinfectant ? » Alors effectivement tout devient sans contact, cela a déjà commencé : porte, carte bancaire, robinets, télé-travail, télé-enseignement, télé-médecine, commerce en ligne, 5G ! Mais qui dit sans contact dit aussi sans humanité !!

Face à la peur, la parano, le repli sur soi, l’éloignement, l’isolement, l’individualisme, seules voies possibles la solidarité, le collectif, l’ouverture vers les autres, la raison et le bon sens !

Merci à toutes les bénévoles qui ont permis distribution des masques, livraison des paniers, écoutes et attentions envers celles et ceux qui en avaient besoin. En général les personnes âgées ! Cette génération si touchée par le Covid dans son corps et dans son cœur, stigmatisée, mal menée, certains responsables politiques allant même jusqu’à les priver de liberté sans leur consentement. Voire même jusqu’à les sacrifier pour faire repartir l’économie !

Pour continuer à vivre sur le même bateau il faudra peut-être apprendre à le construire ensemble, les jeunes et les vieux, les nantis comme les pauvres.
Dans ce monde en plein chamboulement, seule la tradition reste un socle solide, un peu bousculé certes mais toujours là. C’est une certitude dans ce monde de doutes alors, comme les anciens, nous avons honoré St-Jean et retrouvé une certaine convivialité. Mais un long voyage nous attend avec tous les espoirs et les impératifs d’une autre façon de vivre.

Après la tempête, l’air est plus limpide !

Programme de la commune en 2020

Il est de tradition qu’à la fête de la St-Jean, le Maire informe les citoyennes et citoyens des réalisations faites ou en cours, des projets inscrits au budget 2020.

Le COVID 19 étant passé par là, le budget de la commune ne sera mis au vote que samedi prochain, le 4 juillet, alors qu’il aurait du être voté au mois de mars. Cependant, la gestion quotidienne de la commune a été assurée par la nouvelle équipe en fonction depuis seulement un mois, les conseillères et conseillers ont anticipé leurs actions selon les axes déjà en place et sous la houlette de la commission finance dont la rapporteuse est Eva Berton-Faure.

Dans le cadre de notre nouvelle gouvernance – qui n’en est qu’à ses balbutiements – mise en avant dans notre campagne électorale, la parole est donnée aux conseillers en pleine autonomie et sous ma responsabilité. Et nous avons déjà une initiative citoyenne arrivée sur mon bureau concernant le transport des aînés que nous allons étudier. Eva va elle-même vous présenter bilan et orientations.
Prise de parole d’Eva Berton-Faure, 3ème adjointe, déléguée aux Finances

La partie technique et les projets en cours, c’est Gérard Saramito, premier adjoint, qui les commentera… avec l’aval de Joao Cipriano ainsi qu’Albert Philip (pour la régie de l’eau).
Prise de parole de Gérard Saramito, 1er adjoint délégué aux Travaux

Nous remercions le Département et la CCPP, représentés aujourd’hui par Francis Tujague, pour les aides qu’ils nous ont attribuées afin de maintenir un investissement de poids alors que les contraintes financières et fonctionnelles de l’état étaient pesantes.

Un élément positif des conséquences de la crise, si je puis dire, c’est la reconnaissance par l’état, pour le moment (nous sommes dans une période de doute permanent), de l’importance de la commune en tant que collectivité. Nous verrons la suite !

La commission manifestation et fêtes a déjà anticipé sur leur actions futures en organisant leur premier apéritif d’honneur.

L’école a été objet de bien des incertitudes depuis la mi-mars, Christine Torri, rapporteuse de la commission vie scolaire vous parlera de l’organisation de la rentrée 2020.
Prise de parole de Christine Torri, déléguée à la vie Scolaire

Coaraze a, avec la Culture, une relation ancienne et très forte, que le Covid n’aura pas su anéantir. Alain Ribière va nous le rappeler.
Prise de parole d’Alain Ribière, délégué à la Culture, la Vie associative et au Patrimoine

Vous avez peut-être parcouru le nouveau site COARAZE.fr et reçu la newsletter Coaraz’Actu constaté le travail complet et précis que la commission communication, avec Maud Régent, a déjà accompli.
Prise de parole de Maud Régent, chargée de la Communication

Le fonctionnement de la CCPP pendant cette période a été compliqué à maintenir en place, mais il a permis d’assurer les principaux services publics : ramassage des ordures ménagères et accueil des enfants du personnel soignant. Je laisse le soin au premier vice-président de vous en parler.”
Prise de parole de Francis Tujague, Vice-Président de la Communauté de Communes du Pays des Paillons

Monique Giraud-Lazzari
Maire de Coaraze

>> Plus d’infos sur la municipalité de Coaraze

L’école retrouve son nom “Le Blé en Herbe”

C’est désormais sous le préau d’entrée de l’école de Coaraze, à côté des drapeaux de la France et de l’Europe et de la devise républicaine “Liberté, Égalité, Fraternité”, que s’inscrivent le dessin d’épis prometteurs et son nom “Le Blé en Herbe”.

Jadis inscrit sur les vitres du hall d’entrée, l’école était privée de son nom depuis l’opération de rénovation thermique qui avait conduit à changer tous les vitrages du hall d’entrée où figurait l’inscription.

>> Plus d’infos sur les services à l’enfance et la jeunesse de Coaraze

Information sur la gestion des encombrants

Le ramassage des encombrants sur la commune de Coaraze est suspendu jusqu’à nouvel ordre.

TOUT DEPÔT EST INTERDIT sur l’ensemble de la commune

La déchetterie ECOVAL PAILLONS de Contes est ouverte depuis le mardi 16 juin.

Horaires d’ouverture :
du mardi au vendredi de 8h à 12h et de 13h30 à 16h30
le samedi de 9h à 12h et de 13h à 16h
04 93 79 03 50


La Communauté de Communes du Pays des Paillons met à la disposition de ses administrés plusieurs moyens humains et matériels pour la gestion de vos déchets : dépôt en déchetterie, prise de rendez-vous, location de bennes.

Vous pouvez contacter le service des encombrants au 04 93 79 03 50 aux jours et heures d’ouverture : les mardis, mercredis et vendredis, de 8h à 12h et de 13h30 à 16h30. Communiquer vos coordonnées, la nature et la quantité des objets à enlever. Une date sera fixée par l’agent pour procéder à l’enlèvement des encombrants.

Rappel : seuls les encombrants (meubles, petit et gros électroménager, matériel hifi-télé-vidéo…), ferrailles (vélos, grillages, piquets…) et emballages volumineux (cartons ou plastiques) seront acceptés. Pour le reste (gravats, déchets végétaux…) les déchetteries sont à votre disposition.

Les objets devront être déposés uniquement la veille au soir du rendez-vous fixé, devant la propriété ou à proximité des bacs à ordures ménagères. Ne pas occasionner de gêne de la circulation, du cheminement des piétons ou encore du voisinage.

>> Plus d’infos sur www.ccpp06.fr

>> Plus d’infos sur la gestion des déchets et du recyclage à Coaraze