Point sur la ressource en eau à Coaraze : une situation sous surveillance

Quelques chiffres : 

    Après une saison de recharge efficace des aquifères, la période estivale a débuté dans de bonnes conditions, avec des débits enregistrés fin mai de 415 m³/jour au Joncas et 450 m³/jour au Terron.

Depuis, on observe toutefois une baisse significative des ressources, avec une diminution rapide estimée à 4,7 m³/jour pour le Joncas et 3 m³/jour pour le Terron.

Début juillet, la disponibilité était descendue à 250 m³/jour pour le Joncas et 290 m³/jour pour le Terron.

Les besoins moyens en eau potable observés au mois de juin sont de 46 m³/jour pour l’alimentation des quartiers Sud (1) et de 235 m³/jour pour l’unité principale du village (2).

Si la tendance actuelle de diminution se poursuit, la capacité de distribution pourrait être mise sous tension dès la mi-juillet.

Nous devrons alors activer l’unité de secours de pompage en rivière sur le Paillon. Ce dispositif reste cependant soumis à plusieurs aléas : turbidité de l’eau brute, faible débit d’étiage, etc.

Nota 1 : Ce besoin est relativement élevé par rapport aux saisons estivales précédentes, où il était de l’ordre de 30 m³/jour.
Nota 2 : Le besoin de l’unité principale est comparable à celui des étés précédents.

 


Il est donc nécessaire de rappeler les recommandations habituelles d’un usage attentif et modéré de l’eau potable telles que :

        • Limiter l’arrosage des jardins, privilégier les heures les plus fraîches (tôt le matin ou en soirée)

        • Réduire les lavages extérieurs (voitures, terrasses…) ou les reporter

        • Privilégier les douches courtes plutôt que les bains

        • Ne pas laisser couler l’eau inutilement (pendant le brossage des dents, la vaisselle…)

        • Vérifier et réparer les fuites (robinets, chasses d’eau, arrosage automatique…)

 

Par ailleurs, l’interdiction de baignade dans le cours du Paillon, en amont de la station de potabilisation, reste en vigueur afin d’éviter tout risque de pollution des eaux brutes et l’éventuel arrêt du pompage (arrêté du 30 juin 2022).

=> Consulter l’article sur l’interdiction de baignade sur le site du Planfae : https://coaraze.fr

Évolution des débits de la source du Terron depuis le début de l’année (courbe verte) comparée au débit nécessaire pour couvrir les besoins estivaux (courbe violette).

Combattre le moustique tigre

Combattre le moustique tigre n’est pas facile mais indispensable !

 

        Petit, agressif, diurne… le moustique tigre (Aedes albopictus) vous a gâché la vie l’été dernier ? Pour réduire ses nuisances, il existe des solutions simples à mettre en œuvre dès le début du printemps, sans attendre de se faire piquer par la première spécimen (seule la femelle pique). Faute de mesures précoces, la situation peut devenir ingérable : une femelle de moustique tigre vit environ trois semaines, pendant lesquelles elle est capable de pondre jusqu’à 200 œufs par ponte, à raison d’une ponte tous les quatre jours.

 
Connaître ses habitudes

Contrairement aux moustiques plus communs (Culex pipiens et Culiseta annulata), le tigre ne pond quasiment jamais dans l’eau. La femelle dépose ses œufs sur les parois asséchées et verticales de toutes sortes de contenants, quelques millimètres au-dessus du niveau de l’eau. Aussi ne se reproduit-elle pas dans les milieux naturels, comme les mares, les fossés ou les marais. Il s’agit d’un insecte plutôt urbain ou périurbain, qui aime le béton et le plastique.

le moustique tigre ne se développe pas dans les grands volumes d’eau. Donc, pas de panique avec la piscine du voisin ! Elle n’attirera pas spécialement les moustiques tigres, surtout si elle est entretenue et traitée au chlore. En revanche, Aedes albopictus aime l’eau stagnante (sans mouvement, qu’elle soit claire ou pas), et le moindre objet creux peut devenir un site de ponte, autrement désigné comme « gîte larvaire ». Un simple bouchon de bouteille lui suffit.

Les œufs peuvent rester tout l’hiver en « diapause » sur les bords du récipient. Ils sont très résistants, y compris au gel et à la sécheresse. Aux premières pluies ou arrosages de printemps, lorsque les parois du contenant sont submergées, ils vont éclore, et les larves commencer à se développer dans l’eau. Entre l’éclosion de l’œuf et l’émergence de l’adulte, il faut compter huit jours en période chaude, mais plusieurs semaines quand la température de l’eau n’est pas très élevée.

 

Faites la guerre à tous les petits récipients d’eau

  • Les objets :

« La lutte contre les gîtes larvaires, c’est la base fondamentale, insiste Guillaume Lacour, entomologiste médical et responsable scientifique à Altopictus, une entreprise spécialisée dans la lutte contre le moustique tigre. Les autres actions viendront seulement en complément. » Pots, arrosoirs, jouets pour enfant, soucoupes, outillage de jardin, pluviomètres, siphons extérieurs, pieds de parasol, bâches, brouettes, vieux pneus… Tous les objets peuvent devenir des sites de ponte. Il est donc primordial de les vider très régulièrement, de les mettre à l’abri ou de les positionner pour qu’ils ne puissent stocker aucune goutte d’eau (arrosoirs tête en bas, seaux retournés, etc.).

Pour les plantes en pot, il est conseillé de mettre du sable dans la coupelle, ce qui permet d’arroser la plante sans que l’eau ne soit exploitable par le moustique. Enfin, prenez garde à certaines plantes à larges feuilles pouvant retenir l’eau.

  • Les récupérateurs d’eau :

L’opération s’avère un peu plus complexe avec les récupérateurs d’eau, l’un des lieux de prédilection du moustique. Placez une moustiquaire sur les tonneaux. L’eau continuera à aller dans le récupérateur, mais pas les moustiques. Une fois en place, le dispositif est pérenne.

  • Les autres endroits sensibles de la maison :

Les rigoles : n’oubliez pas de les nettoyer régulièrement pour éviter qu’elles ne se bouchent et que l’eau y stagne.

Les regards de descente de gouttière : ils font partie des lieux pas simples à gérer. Comme pour les récupérateurs avec robinet, Altopictus préconise de couper la gouttière un peu au-dessus du regard et d’équiper ce dernier d’une moustiquaire pérenne.

Autre solution : combler le « piège à sable » présent au fond du regard avec du béton, jusqu’au niveau du tuyau d’évacuation pour éviter toute eau stagnante. S’il s’agit d’un regard en ciment, vous pouvez tout simplement y verser de l’eau bouillante. Une solution fatale aux larves, mais temporaire…

Les terrasses à plots posées sur du béton : c’est l’un des obstacles majeurs à la lutte contre le moustique tigre. L’eau passe à travers les planches ou les dalles et stagne en dessous en raison de l’absence ou d’une mauvaise évacuation.

Si aucune évacuation n’est possible, vous pouvez recourir à un produit liquide à base de polydiméthylsiloxane (PDMS). Un film de silicone va s’étaler sur toute la surface de l’eau et étouffer les larves en les empêchant de respirer à la surface. Attention : « On ne peut pas utiliser ce type de produit à base de pétrole si l’eau retourne dans la nature ou s’évacue ensuite en station d’épuration », prévient le spécialiste d’Altopictus. Il existe d’autres produits du même type, mais à base d’huiles végétales, moins problématiques pour l’environnement.

 

Créez un environnement hostile au moustique tigre

  • De l’air : le moustique tigre aime se reposer dans les herbes ou les broussailles à l’abri du vent. Il ne vole jamais très haut, et pique plutôt au niveau des jambes et des chevilles. Lors du déjeuner sur le balcon ou la terrasse, utilisez un ventilateur.

 

  •  Des oiseaux : même si aucune étude ne montre pour l’heure que les oiseaux ont intégré le moustique tigre à leur menu, vous pouvez tout de même tenter l’installation de nichoirs à martinets, hirondelles, rougequeues ou encore gobemouches. En revanche, si les chauves-souris peuvent être utiles pour les moustiques communs, elles ne chasseront pas le tigre, trop diurne pour elles.

 

  • Des poissons :si vous avez un bassin, mettez-y des poissons qui se régaleront des larves.

 

 

Se protéger à l’intérieur et à l’extérieur

 Il faut équiper toutes les fenêtres de moustiquaires pour pouvoir aérer son logement sans prendre le risque de se faire piquer, À l’extérieur, portez des vêtements amples et clairs, le moustique préférant les couleurs sombres.

Utilisez des répulsifs. Les plus efficaces sont à base de DEET, d’IR3535 ou d’icaridine, même si toutes les références ne se valent pas. Certains produits à base de citriodiol, qu’on peut aussi trouver sous le nom de PMD ou d’huile essentielle d’eucalyptus citronné (ou citriodora), se révèlent efficaces selon des tests réalisés par l’UFC-Que choisir et 60 Millions de consommateurs. Tout dépend de leur formulation. Ces répulsifs avec huiles essentielles sont cependant déconseillés pour les enfants de moins de 3 ans et les femmes enceintes ou allaitantes.

Faut-il acheter un piège ? Pièges à CO2, pièges-pondoirs, pièges à larves, pièges à femelles gravides : il en existe différents types. Tous ne sont pas forcément adaptés et tous ne se valent pas. Et surtout, un piège ne doit venir qu’en complément de la lutte hebdomadaire contre les gîtes larvaires. Ne vous précipitez pas sur le premier attrape-moustique vendu.

Il est conseillé les pièges à femelles gravides, c’est-à-dire ceux qui vont attirer et piéger les femelles à la recherche d’un lieu de ponte : « L’efficacité des pièges Biogent BG-GAT a été prouvée scientifiquement. Les femelles sont attirées par l’eau qui stagne au fond du récipient. Un filet les empêche d’accéder à l’eau, et quand elles veulent ressortir, elles se retrouvent collées sur la paroi intérieure. » L’entomologiste déconseille en revanche les pièges à larves avec un système d’entonnoir censé bloquer la sortie des moustiques. Il cite l’exemple de trois habitants qui s’en étaient équipés : « Dans les trois cas, le piège ne piégeait plus, mais il produisait des moustiques. Il suffit que le couvercle bouge un peu pour qu’il devienne un super gîte larvaire. »

De façon générale, Altopictus recommande de privilégier des pièges imagocides, c’est-à-dire qui tuent les moustiques adultes, « sans produit biocide, à placer en extérieur, qui ont démontré leur efficacité contre le moustique tigre (BG-Mosquitaire, BG-GAT, Mosquito-Magnet, Biobelt) et avec un meilleur rapport coût-efficacité ». Côté prix, le BG-GAT reste le plus accessible, aux alentours d’une soixantaine d’euros le pack de deux.

 

Sensibiliser votre voisinage

« Le moustique tigre vole peu,. Il ne dépasse pas un rayon de 150 m. Si on arrive à mobiliser son voisinage, on peut réellement réduire les nuisances. La lutte doit être communautaire. »

Mais le sujet est explosif, constate le spécialiste. L’insecte peut devenir un motif de conflit important avec ses voisins. Aussi la diplomatie est-elle de mise. « Il ne faut pas vouloir imposer les choses. Invitez vos voisins à l’apéro. Montrez-leur comment vous avez procédé pour vous débarrasser des larves de moustiques dans votre récupérateur d’eau ou votre regard, par exemple. »

Le moustique tigre peut aussi être un vecteur de liens. Dans certaines villes, des citoyennes et citoyens se sont emparés du sujet et transmettent bénévolement les bonnes pratiques aux habitants du voisinage. Pourquoi ne pas créer une « brigade du tigre » dans votre quartier, comme l’ont fait des Toulousaines et Toulousains ?

 

Brûlage des végétaux : Rappel des conditions et obligations

   En raison des risques importants d’incendies, nous vous rappelons qu’il est formellement interdit de brûler à l’air libre des végétaux dans tout le département des Alpes-Maritimes, tout au long de l’année, sauf cas exceptionnels.

   Le brûlage de déchets verts issus de l’entretien courant (tonte, taille, feuilles mortes…) est strictement interdit, que vous soyez particulier, professionnel ou collectivité. Ces déchets doivent être éliminés par broyage (paillage, compostage) ou déposés en déchèterie.

Des dérogations possibles, sous conditions :

   Le nouvel arrêté préfectoral introduit plusieurs mesures d’assouplissement ,tout en maintenant un haut niveau de vigilance face au risque incendie. Le brûlage peut être autorisé, à condition de respecter l’ensemble des critères suivant :

    Concernant l’emploi du feu dans les massifs forestiers des Alpes-Maritimes, merci de vous référer également aux règles en vigueur ci-dessous :

=======>  Consulter l’arrêté préfectoral :  AP 2025 <=======

Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter la mairie au 04.93.79.34.80 ou par mail : patrimoine.coaraze@outlook.com 

Qualité de l’eau distribuée en 2024 : les résultats des unités de distribution de Coaraze

     Suite aux retours de l’Agence Régionale de Santé, nous vous mettons à disposition les fiches d’information concernant la qualité de l’eau distribuée en 2024, pour chacune des unités de distribution de la commune. Ces fiches ont été conçue pour vous fournir des informations claires sur les résultats des analyses*, en conformité avec les normes sanitaires en vigueur. Voici les principaux résultats :

  • Unité principale de distribution : Une eau de très bonne qualité, avec un taux de conformité de 100%.

  • Unité sud (Gardiola / Feuilleraie) : Une eau plus sujette à des aléas, dus en 2024 aux désordres engendrés par le glissement de la Pinea et au problème récurrent de l’interférence du réseau arrosant du Joncas. .  

Les analyses sont réalisées, par l’Agence Régionale de Santé , selon des critères stricts de sécurité sanitaire, assurant ainsi une eau potable, propre à la consommation, qui respecte les normes de potabilité établies par les autorités compétentes.

 

 

La fiscalité de l’eau : Origine et redistribution des redevances perçues 

L’eau est une ressource naturelle mais nécessite des efforts pour en garantir la qualité et la durabilité. L‘Agence de l’Eau Rhône-Méditerranée-Corse joue un rôle essentiel en récoltant des redevances auprès des usagers pour financer des projets de protection de l’eau. 

Origine des redevances 

Les redevances sont collectées par l‘Agence de l’Eau auprès de tous les utilisateurs : particuliers, industries, collectivités, agriculteurs arrosant,  etc. Ces fonds proviennent principalement de la facturation de l’eau, mais aussi de taxes sur les pollutions et des prélèvements. 

Ils sont utilisées pour financer des actions nécessaires à la préservation des ressources en eau dans notre région et l’amélioration des services de l’eau .

Utilisation des fonds par l’Agence de l’Eau 

Pour mieux comprendre l’origine de ces redevances et leur utilisation, nous mettons à votre disposition la brochure de l’Agence de l’Eau Rhône-Méditerranée-Corse. Celle-ci détaille comment sont collectés les fonds et de quelles façons ils sont réinvestis sous forme d’aides financières pour des actions permettant de protéger les milieux aquatiques , les ressources, les réseaux  d‘eau potable et les systèmes d’épuration. 

Réaménagement du carrefour des Faïsses – PROLONGATION JUSQU’AU 23 MAI

 

  Dans le cadre de l’amélioration des infrastructures communales, deux chantiers importants sont programmés sur la route du Plan de Linéa, avec un démarrage prévu le lundi 28 avril.

1. Réaménagement du carrefour des Faïsses

    Le carrefour des Faïsses, situé sur la route du Plan de Linéa, présente un état de dégradation avancé nécessitant une intervention.

    Afin d’assurer une bonne gestion des eaux de ruissellement, en particulier celles issues du vieux chemin de Nice, un caniveau de type CC2 sera réalisé pour canaliser efficacement les eaux pluviales le long de la chaussée. La traversée au niveau du carrefour sera conçue pour faciliter son entretien tout en garantissant le passage sécurisé des véhicules.

Début des travaux : lundi 28 avril 2025
Durée estimée : 10 jours,  jusqu’au 9 mai 2025 

ATTENTION: LES TRAVAUX SONT MAINTENUS JUSQU’AU 23 MAI 


Entreprise en charge : PRTT, retenue à l’issue d’un appel d’offres


Les travaux seront effectués sur les segments de voie compris entre les numéros 215 et 360 de la route du plan de Linea. En raison de l’étroitesse de la voie, la circulation sera interrompue en journée pendant les travaux :

                  • de 8h30 à 12h00

                  • de 13h00 à 17h00

Le passage sera dégagé sans délai en cas d’intervention d’urgence. 

La circulation piétonne reste autorisée durant toute la durée des travaux, dans des conditions sécurisées.

Vous pouvez consulter l’arrêté municipal émis par la mairie :AM-PRPT-travaux-circulation-15mai2025


 

2. Sécurisation du pont du Plan de Linéa

Suite à une inspection réalisée par le CEREMA, il a été confirmé que les dispositifs de retenue du pont du Plan de Linéa, seule voie d’accès desservant les hameaux en rive gauche du Paillon, doivent être remplacés.

Les rambardes actuelles, devenues inappropriées, seront démontées pour laisser place à un nouveau dispositif de sécurité avec limiteur et répartiteur d’effort.

Début des travaux : lundi 12 mai 2025
Durée estimée : 10 jours, jusqu’au 23 mai 2025


Interruption de la circulation en journée :

                  • de 8h30 à 12h00

                  • de 13h00 à 17h00

Le passage sera dégagé sans délai en cas d’intervention d’urgence. 

Vous pouvez consulter l’arrêté municipal émis par la mairie : ArrêtéPontduPaillon


    Conscients des désagréments que ces interventions peuvent occasionner, la commune et les entreprises mobilisées mettront tout en œuvre pour réduire au maximum l’impact sur votre quotidien.

Nouvelle réglementation sur la pêche en eau douce : ce qu’il faut savoir

 

   Un nouvel arrêté régissant la pêche en eau douce dans les Alpes-Maritimes vient d’être publié, apportant des modifications importantes pour les pêcheurs. Voici les principaux changements à prendre en compte pour la saison en cours.

Modification des dates d’autorisation de la pêche des salmonidés en première et deuxième catégorie piscicole : passage d’une date de fermeture de la pêche qui était jusqu’à présent le 3ᵉ samedi du mois de septembre à une nouvelle date, le 2ᵉ dimanche du mois d’octobre. Cela sur l’ensemble des Alpes-Maritimes.

– La pêche dans les lacs de la commune de Tende est désormais autorisée jusqu’au dernier dimanche du mois d’octobre. La date de clôture est ainsi harmonisée pour tous les lacs de la commune, qu’ils soient situés à plus de 1800 mètres d’altitude ou à une altitude inférieure.

Pour consulter l’arrêté complet et connaître tous les détails de la réglementation, vous pouvez le télécharger ici : DDTM-SEAFEN-AP-N°2024-356_pêche_eau_douce_perma

Des bornes de recharge électrique désormais en service

À Coaraze, une borne double a été installée à l’intersection de la route de la Chapelle Bleue et de la route départementale 15, renforçant ainsi l’infrastructure locale de recharge pour véhicules électriques.

La Communauté de Communes du Pays des Paillons (CCPP) poursuit son engagement en faveur d’un territoire plus durable avec la mise en service de bornes de recharge électrique. Leur exploitation et gestion ont été confiées à la Société Monégasque de l’Électricité et du Gaz (SMEG), via le réseau Evzen.

Désormais, plusieurs bornes sont opérationnelles dans les communes de Blausasc, Contes, Peille, L’Escarène, Cantaron, Lucéram Peïra Cava et Peillon, offrant aux habitants et visiteurs un accès facilité à ce service innovant et écologique.

À Coaraze, les bornes, désormais en service, sont accessibles au public, facilitant ainsi la recharge des véhicules électriques pour les résidents et les visiteurs.

Pour plus d’informations sur leur utilisation, consultez les consignes affichées sur place ou rendez-vous sur le site web du réseau

======= >  Evzen. <=======

CCPP

Opération « Collecte des Sapins » : Recyclez votre arbre de Noël à Coaraze !

 

La Communauté de Communes, en partenariat avec les communes du Pays des Paillons, renouvelle cette année l’opération «  Collecte des sapins » pour permettre à chacun de recycler son sapin naturel dans le respect de l’environnement.

 

 Du 26 décembre 2024 au 10 janvier 2025,

Le point de collecte est situé derrière le bar-épicerie A Cò de Béla, (au niveau du parking).

 

 

 

Recyclage des anciens téléphones mobiles : un geste simple, un impact majeur

Nos vieux téléphones portables dorment souvent au fond d’un tiroir, oubliés après avoir été remplacés par des modèles plus récents. Pourtant, ces appareils ont un potentiel immense : à la fois pour préserver nos ressources naturelles et pour soutenir des initiatives sociales solidaires.

 

Comment participer ?

La commune de Coaraze, en partenariat avec Orange et Emmaüs, met en place une collecte spéciale pour vos anciens mobiles depuis 2021. Voici comment faire :

  1. Rassemblez vos appareils inutilisés : Téléphones, chargeurs, accessoires… Tout peut être recyclé !
  2. Déposez-les dans le point de collecte : À la mairie, durant les heures d’ouverture.

 

 

Pourquoi recycler vos anciens mobiles ?

 

Un geste pour l’environnement :

        • Les téléphones contiennent de l’or, de l’argent, du cuivre et d’autres métaux rares, qui peuvent être récupérés et réutilisés.
        • Le recyclage réduit les déchets électroniques, souvent nocifs pour l’environnement, et limite les émissions de CO2 liées à l’extraction minérale.

 

 

 

Un levier pour la solidarité sociale :

    • Les appareils encore fonctionnels sont reconditionnés par les Ateliers du Bocage, une entreprise d’insertion membre d’Emmaüs, pour être revendus dans des pays émergents.
    • Les bénéfices de ces ventes sont intégralement reversés à Emmaüs International, contribuant ainsi à des projets solidaires à travers le monde.

    Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à contacter la mairie au 04.93.79.34.80 ou à consulter le site web d’Orange.

    Coaraze nouvellement labellisé “Commune à découvrir”

     

     

    Coaraze, notre “village du soleil”, a été officiellement labellisé “Commune à découvrir” lors de l’édition 2024 organisée par Mission France Guichet. Cette distinction met en avant les communes qui se démarquent par leur patrimoine exceptionnel et leur environnement préservé.

     

    Qu’est-ce que le label “Commune à découvrir” ?

    Ce label valorise les communes offrant un intérêt particulier en matière de patrimoine historique, architectural ou naturel. Il reconnaît également les espaces favorables aux activités comme la randonnée, l’observation de la nature ou la découverte du terroir.

    Pour évaluer chaque commune, un système d’horloges a été mis en place. Ces horloges ne sont pas un classement, mais une indication du temps conseillé pour découvrir la richesse du lieu :

        • De 0 à 4 horloges, reflétant la durée recommandée d’une visite.
        • Des mentions thématiques peuvent également souligner une activité dominante (culture/patrimoine, nature/sport, détente).

    Coaraze : une distinction bien méritée 

    Notre village a obtenu une distinction de 1,5 horloge, correspondant à une durée conseillée d’environ une demi-journée de visite. Cette reconnaissance met en lumière le charme pittoresque de Coaraze, son cadre naturel préservé, et la richesse de son patrimoine, notamment ses célèbres cadrans solaires.

    Découvrez la carte officielle

    Pour consulter la carte interactive des communes labellisées et en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel de Mission France Guichet : missionfranceguichet.fr.

     

    Découvrez tous nos labels qualité  ICI