C’est l’agence postale communale que Lucien Fernandez a choisi d’investir pour présenter, sous forme de photographies, ses œuvres peintes.
Toutes ramenées au format A4, ces compositions de dimensions diverses, généralement des créations aux encres de couleurs, mais parfois aussi à l’acrylique, voire intégrant d’autres matériaux, évoquent aussi bien des calligraphies de type orientalisant que des paysages familiers aux Coarazienˑes.
Merci à Françoise, qui est à l’initiative de ces présentation aux murs de l’agence postale, de nous avoir fait découvrir le talent de Lucien Fernandez.
« D’une écriture tendue, Alain Guillard nous livre le portrait d’un homme écorché, nommé Pierre, que son extraordinaire présence au monde (lumières, sons, oiseaux, paysages urbains) finira sans doute par réconcilier. Cet homme marche sa vie au gré des êtres et des lieux, entre vifs moments du jour et temps de l’enfance, entre drames et pauvres événements ; tout cela précis, sensible, consigné pas à pas dans des cahiers. »