Point sur les difficultés d’accès au village liées aux travaux du parking Nord

Une tranchée est en cours sur toute l’avenue des Calinaires afin d’amener la conduite incendie jusqu’au nouveau parking. Ces terrassements sont mis également à profit pour passer un réseau d’eau pluviale.

Il était prévu de fermer la voie des Calinaires quelques jours, mais le terrain rocheux est bien présent et allonge une nouvelle fois les délais. Les travaux sont prorogés jusqu’au 4 juin, fin prévisible de la tranchée proprement dite.

Mais, l’opération délicate  du raccordement au réseau, au niveau du carrefour,  provoquera une fermeture complète de l’accès au village. L’entreprise espère pouvoir mener à bien cette dernière étape en moins de deux jours .

La mise en œuvre des enrobés est prévue dès mardi 1er juin. Ce revêtement viendra couvrir le dernier étage du bâtiment dont l’étanchéité vient d’être posée et testé. Les enrobés aux abords du parking et sur la tranchée avenue des Calinaïres viendront en finitions, plus tard.

Il est rappelé que pendant tous ces travaux, l’accès avenue des Calinaïres et  Montada du Portal est interdit depuis la place Sainte Catherine.

Une grande compréhension de tous demeure nécessaire.

Augmentation de l’amende pour le brûlage de déchets verts

Bien que le brûlage de déchets verts soit interdit, il est encore largement pratiqué. Depuis le début de l’année 2021, AtmoSud a recensé 25 signalements liés à cette pratique.

Depuis la parution d’un nouveau décret, paru le 19 mars dernier,  le contrevenant coupable de brûlage de déchets verts à l’air libre risque désormais une amende maximale de 750€.

Le brûlage des déchets verts a des impacts sur la qualité de l’air et sur la santé. Il peut participer en hiver à la moitié des niveaux de particules dans l’air. La combustion de biomasse, notamment les chauffages domestiques aux bois et le brûlage des déchets verts contribuent fortement aux émissions de particules fines dans l’air.

AtmoSud accompagne les collectivités en sensibilisant sur l’impact des brûlages sur la qualité de l’air et proposant des alternatives (broyage, paillage, dépôt en déchetterie) pour améliorer la situation.

>> Plus d’infos sur www.atmosud.org

La compagnie de théâtre “Arketal” en résidence du 4 au 7 juillet

La compagnie Arketal de Cannes a choisi notre village pour travailler sur sa nouvelle création originale “La légende de la troisième colombe” à partir du texte de Stephan Zweig.

Deux artistes, deux spectacles « solo » mobiles, pour tous types d’espaces et pour « Tout Public » à partir de 9 ans (jauge 60 personnes et une durée autour de 30 minutes). La représentation gratuite de fin de résidence, prévue le mercredi 7 juillet en fin d’après-midi, sera suivie par un échange avec les artistes autour des thèmes du texte (le symbole universel de la paix, le voyage de la colombe, sa mission…) et du processus de création. La création est prévue pour octobre 2021.

L’histoire

Noé lança trois colombes depuis l’arche perdue au milieu du déluge. La première revint sans rien, signe que les eaux recouvraient encore toute la terre. La seconde apporta un rameau d’olivier, signe que les arbres commençaient à émerger. La troisième ne revint pas, signe que la terre était libérée des eaux. Qu’était-il advenu d’elle ? Elle s’était nichée dans la forêt pour y somnoler durant l’éternité. Mais elle fut réveillée par des bruits déplaisants et des éclats métalliques, signes d’un conflit entre les êtres humains. Depuis, elle vole partout à la recherche de la paix. Elle attend, comme la deuxième colombe, de pouvoir annoncer au monde que l’épreuve a été suffisante.

L’auteur

Stefan Zweig est un ardent défenseur du dialogue entre les peuples, un européen convaincu. Il écrit « La légende de la troisième colombe » d’une traite en 1916 au moment où il retrouve de l’ardeur pendant la guerre de 14-18, pour militer à l’unité spirituelle de l’Europe qui est en ruine…Position dure à tenir en 1914, au moment de la mobilisation, en tant qu’homme de dialogue, homme qui cherche l’amitié et le dialogue par-delà les frontières… Romain Rolland écrit à Stefan Zweig : « je suis plus fidèle que vous à notre Europe, cher Stefan Zweig…et je ne dis adieu à aucun de nos amis ». De cette lettre Zweig dira qu’elle fut un des grands instants de bonheur de sa vie, « comme une colombe blanche, sortie de l’arche de la bestialité hurlante »

L’équipe de création : artistes, accompagnatrices et accompagnateur

Auteur : Stefan Zweig
Plasticienne
/Narratrice Marionnettiste : Sandrine Maunier
Plasticienne
/Narratrice Marionnettiste : Fanny Tissot-Giordanna
Factrice de marionnettes/Scénographe : Greta Bruggeman
Marionnettiste/Metteure en scène :  Sylvie Osman
Architecte/Scénographe : Antoine Oriola
Partenaires achats d’avance : Ville de Cannes
, Scène 55 Mougins, Théâtre National de Nice, Pré des Arts Valbonne
Co-producteur : Théâtre National de Nice
Résidence de création : Scène 55 Mougins
Avec le concours de la ville de Mouans-Sartoux
La compagnie Arketal est une compagnie en résidence, conventionnée par la DRAC PACA et la ville de Cannes. Elle est subventionnée par le Conseil régional PACA et le Conseil départemental des Alpes-Maritimes

>> Plus d’infos sur www.arketal.com

Ateliers d’accompagnement parents-enfants de 0 à 3 ans tous les jeudis matin à l’EVS

À partir du jeudi 3 juin 2021, dans le cadre de l’accompagnement à la parentalité, l’Espace de Vie Sociale “de Coaraze à Bendejun” propose à Coaraze un accueil libre pour les parents-enfants de 0 à 3 ans et les assistantes maternelles du secteur, tous les jeudis matins de 9h à 12h, hors vacances scolaires.

L’occasion d’échanger, de partager, de jouer dans une ambiance conviviale et ludique ! N’hésitez pas à contacter Virginie pour des renseignements complémentaires.

Ces ateliers prolongent les Rencontres allaitement et maternage, régulièrement organisées par l’association de soutien à la parentalité de la Vallée du Paillon Bien-naître et grandir en conscience, animées par Frédérique, habitante de Coaraze, qui exerce le métier de Doula (Haptonomie).

doula (n.f. grec ancien) femme qui propose un accompagnement non médicalisé de la grossesse et de l’accouchement.
Utilisé aujourd’hui dans le domaine de la périnatalité, ce terme désigne une femme qui a pour vocation d’aider une autre femme et son entourage pendant la grossesse, l’accouchement et la période qui suit, grâce à son expérience et à sa formation. Elle incarne la figure féminine qui se tenait autrefois auprès de la femme qui met au monde son bébé, aux côtés de la sage-femme.
Frédérique MILLOT – accompagnement et haptonomie périnatale, massages bien-être
06 64 21 08 58
frdmillot@gmail.com
www.doulahaptonomie.vinvin.tf
facebook.com/BNEGEC/

Espace de Vie Sociale “De Coaraze à Bendejun”
Responsable : Virginie PRÉVOT
67 Route du Col Saint-Roch – 06390 Coaraze
06 12 51 30 01
evs.coaraze@gmail.com
facebook.com/VivreàCoaraze

>> Plus d’infos sur les services de Santé et Social

Discours de Mme Le Maire lors de la cérémonie du 8 mai 2021

La COVID 19 a bouleversé le quotidien de nos vies depuis plus d’un an. Ce virus plus agressif que les autres a emporté des vies plus tôt que prévu. Nous ne savons pas encore ce qu’il va engendrer demain, après-demain. Pour l’instant, les dérèglements en tout genre semblent bien présents, mais soyons optimiste, on m’a toujours dit que le temps arrange toujours les choses… mais autrement !

Nous voilà réunis, nous les élus de la République, mais pas comme toutes les années, car vous, Coaraziennes et Coaraziennes ne pouvez pas être là – contraintes réglementaires obligent – devant le monument aux morts de Coaraze pour fêter la Victoire et rendre hommage aux victimes de la guerre de 40 !

De près ou de loin, fêtons la victoire du 8 mai 1945.
Victoire sur la barbarie ! Victoire sur la folie des hommes! Victoire sur l’oppression programmée d’êtres humains sur d’autres êtres humains.
Honorons ceux qui l’ont gagnée avec courage, avec détermination : les alliés, les résistants, les forces françaises libres constituées de nombreux combattants d’Outre-mer, les Républicains espagnols, les gens d’en bas, sensés, qui ont agi dans leur quotidien pour faire reculer la barbarie.
N’oublions pas les souffrances endurées par cette génération qui a été sacrifiée pour nous, pour que nous puissions vivre libres.

Nous sommes ici pour rendre un hommage appuyé à celles et ceux qui ont perdu le temps de  leur jeunesse dans ces années sombres de la guerre de 40, qui ont sacrifié leur vie de famille, qui ont laissé leur propre vie ou qui sont revenus massacrés dans leur corps et dans leur âme pour que nous, nous puissions vivre en paix ; un hommage aux familles de ces combattants qui ont souffert de l’angoisse de la mort pour leur proche.

Nous sommes ici pour ranimer et conserver la mémoire de leur sacrifice ; pour que nous n’oubliions pas l’horreur d’une guerre que beaucoup d’entre nous (ceux du baby boom… et les plus jeunes) n’avons pas vécue ; pour que nous soyons vigilants, par respect pour eux, à toute atteinte à la liberté ; pour que nous puissions anticiper et combattre à l’heure actuelle toute tentative d’hégémonie d’un peuple sur un autre, d’une religion sur une autre ; pour que nous gardions dans notre esprit que tout homme qui ne respecte pas l’autre, quel qu’il soit, fait un affront à son intelligence et engendre une source de violence.

Nous sommes ici pour ne pas oublier l’horreur d’une guerre ouverte, massive, où la population civile de toute nationalité, vieillards, femmes enfants ont souffert de la faim, de la peur, de l’humiliation, de l’exode ; une guerre totale, mondiale, imposée par un homme obnubilé par un pouvoir morbide de vie et de mort sur ses semblables en se croyant investi d’une mission « divine », « construire un grand Reich germanique», en éliminant toutes celles et tous ceux qui n’entraient pas dans les normes qu’il avait lui-même établies.

Nous sommes ici pour préserver le droit à la différence, lutter contre le racisme et la xénophobie, préserver les principes de la République, protéger la démocratie, respecter ceux qui l’ont fait avant nous et qui en sont morts.

Nous sommes ici pour garder en tête que notre raison, notre réflexion, notre esprit critique, notre humanité, notre sagesse nous préservent d’une telle dérive. N’oublions pas que l’histoire peut bégayer et que tout retour aux heures sombres peut s’enclencher rapidement.

Nous sommes ici pour prendre conscience qu’aucun pays n’est à l’abri d’une guerre, forcément différente, adaptée à notre siècle, mondialisée, qui peut prendre d’autres noms comme le terrorisme. Car l’homme peut être assez fou pour la justifier au nom d’un dictateur en mission divine, d’un dieu, d’un intérêt économique, d’un parti politique, d’un nouvel ordre mondial…

L’homme n’est que ce qu’il est, avec ses grandeurs et ses faiblesses.
Côté face il est capable de solidarité, de générosité, de grandeur, d’inventivité, de création extraordinaire, côté pile il peut être pire qu’un animal sauvage.
Il a été capable de penser et d’instaurer la République avec ses valeurs fondamentales « liberté – égalité – fraternité », faisons en sorte de ne pas les oublier par respect pour celles et ceux qui sont morts pour elles, pour les prisonniers restés cinq ans enfermés, pour les internés des camps de concentration, pour les blessés à vie, pour les familles meurtries, pour ceux qui ont risqué leur vie en cachant des personnes, pour celles ceux qui ont enfreint, au péril de leur vie, les ordres des occupants et des autorités françaises qui s’y étaient soumises.

Nous sommes ici aussi pour rappeler le rôle essentiel des femmes dans ce conflit,
– des femmes discrètes dans leur héroïsme, qui ne réclameront ni honneur ni médaille, et pourtant « mortes pour la France », entrainées à la modestie par des siècles de morale masculine. Elles ne devaient pas militer, elles ne disposaient pas de leur corps, elles étaient considérées comme mineures toute leur vie sous la domination de leur père puis de leur mari et elles n’avaient pas le droit de voter ! Elles ne l’obtiendront  qu’en 1944.
– des mères, femmes courageuses, qui ont dû assumer seules la survie quotidienne : faire la queue pour avoir du pain, du lait, du charbon, maintenir l’éducation de leur progéniture et vivre dans l’angoisse permanente des nouvelles de leur mari, de leur frère.
– des réfugiées espagnoles, des Allemandes fuyant Hitler, des femmes communistes, des juives, toutes internées lors des premières purges intérieures dans des conditions déplorables.
– des femmes fuyant l’avancée des troupes allemandes, parties sur les routes avec l’incertitude de conserver leur vie et celles de leurs  enfants et  de leurs parents.
– des femmes résistantes qui se sont engagées dans les réseaux, parfois armes à la main, torturées et exécutées par la gestapo. Dans notre vallée, elles ont fait partie du groupe Surcouf. Leurs noms sont peu ou pas connus : madame Jotté-Latouche alias Emilie / madame Cavenago dite Poucette / Suzanne Frappier dite Simone / mademoiselle France Langlois alias mademoiselle Heurtel / madame Denès dite Alziary / Lise Buffard / France Massiéra, coarazienne / Mireille Guyon et tant d’autres qui ont agi dans l’ombre et la discrétion.
– des femmes utilisées comme espionnes, chargées de prendre des renseignements sur les projets des ennemis.
– des femmes violées par les soldats.
– des déportées, femmes mises à l’index séparées de leur enfant, humiliées et tuées dans les camps de concentration.

Après la guerre, toutes celles qui ont  survécu sont rentrées dans leur foyer et ont repris le cour normal ou presque de leur vie, avec l’absence de leurs proches ou la présence d’un mari meurtri dans sa chair et dans sa tête. Mais elles auront au fond  de leur conscience, et pour certaines dans l’action militante, le germe d’une émancipation en marche.

Et maintenant !
76 ans après ! Qu’avons-nous fait de cette victoire ? de ces sacrifices ? de ce courage et cette abnégation des combattants, sur le front ou de l’ombre ? Qu’avons- nous fait de cet engagement libre et solide de toutes ces héroïnes et héros, anonymes ou pas, qui ont défendu la liberté face au despotisme et à la barbarie ?
L’Homme est il devenu plus raisonnable ? A-t-il compris que la soif de pouvoir – pouvoir politique, pouvoir religieux, pouvoir de l’argent, pouvoir de la consommation, pouvoir du toujours plus – ne peut se satisfaire que dans la haine, le conflit, l’inhumanité, la violence et la mort.
Où en sont les politiques publiques, elles qui sont censées améliorer la vie des citoyens contre toutes agressions qu’elles soient physiques, économiques, sociales, virales, climatiques, numériques ?
Où en sommes- nous de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ?
La victoire de 1945 a muselé la dictature du moment, mais depuis d’autres sont apparues et des citoyens en quête de solutions improbables sont aujourd’hui prêts à soutenir des politiques populistes comme dernier recours.

La victoire est éphémère et ses conséquences multiples pas automatiquement positives. Rien n’est jamais acquis. En fait, ce vivre ensemble, ce vivre mieux tant recherchés sont des combats toujours renouvelés pour conserver l’équilibre entre l’argent et la poésie, entre l’avidité et la raison, entre les habitudes et le changement, entre la confiance et la méfiance.
– Méfiance envers les autorités, méfiance envers les autres : le « on ne nous a pas tout dit ». Comme sous l’occupation, les confinements successifs ont accentué cette tendance.
– Méfiance envers le “commandement suprême” – jugé pas assez énergique pour incarner la promesse du retour à la soi-disant grandeur perdue de la France depuis la 2e guerre mondiale et la décolonisation -, qui n’a pas su répondre au besoin d’expression des gens
– Défiance envers “les autres”, considérés comme des dangers potentiels ou comme des privilégiés.

Tout est flou et diffus au lieu d’être fixe et concret.

Et dans ce contexte d’incertitude, le numérique prend le dessus et impose sa dictature en nous “libérant” des contacts physiques devenus insécurisants ; en devenant le seul espace sûr pour se réorganiser. Il est devenu vital. Nous avons l’impression d’être plus libres alors que nous sommes de plus en plus surveillés et contrôlés. Mais où est cette liberté pour laquelle tant de soldats, de résistants, de civils sont morts ?

Avec l’entre-soi, le profit, le sectarisme, le manque de renouvellement des dirigeants, le capitalisme de surveillance, le totalitarisme policier, les gens sont à la recherche d’autres solutions collectives et, de façon surprenante, la Commune de Paris qui célèbre ses 150 ans nous ouvre des portes.
Elle n’a connu qu’un printemps éphémère et n’a certes pas eu le temps de décevoir, mais elle marque encore notre imaginaire! En deux mois d’existence, au printemps 1871, elle a créé l’école laïque, gratuite et obligatoire, instauré la séparation de l’Église et de l’État, la liberté d’association, la suspension des loyers ou le droit au travail des femmes .

La Commune nous rappelle, à l’ère des gouvernances mondialisées qui nourrissent l’idée qu’il n’y a pas d’alternative, la pluralité des formes possibles de l’action collective et du politique.

Le temps des cerises est arrivé, l’espoir est en chemin !
Vive la France ! Vive Coaraze !

Monique Giraud-Lazzari
Maire de Coaraze

La Maison du Patrimoine passe à l’heure d’été

La Maison du Patrimoine Ostau dau Patrimòni rouvrira ses portes le mardi 4 mai aux horaires d’été suivants :

  • mardi, mercredi, vendredi et samedi de 9h à 13h et de 14h30 à 17h
  • jeudi de 9h à 13h

Point d’information sur les richesses patrimoniales aussi bien que sur les possibilités de randonnées et sur les hébergements, La Maison du Patrimoine – Ostau dau Patrimòni permet aussi de découvrir les productions locales diverses : miels, confitures, crème de marron, pâte d’olives, bières et autres plaisirs gustatifs ; créations en céramique ou en bois ; bijoux ; savons …

Elle propose également des œuvres musicales locales et littéraires sur Coaraze – son histoire, son architecture, sa flore, sa langue, ses talents – mais aussi les Paillons, le Mercantour, Nice et de plonger dans le riche catalogue de l’Amourier éditions, maison d’édition installée depuis plus de trente ans au village.

>> Plus d’infos sur l’art et l’artisanat à Coaraze

Maison du PatrimoineOstau dau Patrimòni
Place du Portal
04 93 79 37 47
officedutourismecoaraze@orange.fr
www.facebook.com/li.luernas.9

>> Plus d’infos sur La Maison du Patrimoine – Ostau dau Patrimòni

Élections départementales et régionales : s’inscrire pour voter !

Les scrutins des élections départementales et des élections régionales auront lieu le 20 juin 2021 (1er tour) et le 27 juin 2021 (2ème tour).

Afin de pouvoir voter, vous devez être inscrit sur les listes électorales.

La date limite d’inscription est le 14 mai 2021.

Vous pouvez vous inscrire grâce au formulaire CERFA ci-après et des pièces demandées, à transmettre en mairie par mail secretaire.coaraze@wanadoo.fr, ou en dépôt dans la boîte aux lettres:

  • formulaire
  • pièce d’identité
  • justificatif de domicile (récent/- 3 mois)

Vous pouvez également vous inscrire en ligne sur www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R16396

ou enregistrer votre procuration en ligne sur www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R58939

Mairie
6 place du Portal – 06390 Coaraze
04 93 79 34 80 
secretaire.coaraze@wanadoo.fr

La campagne de vaccination contre la COVID-19 en cours à Coaraze

En fin de semaine 18, 209 Coaraziens auront reçu une 1ère injection, 116 auront reçu les deux injections.

Toutes les personnes volontaires à la vaccination, qu’elles soient prioritaires ou non – sont invitées à s’inscrire en mairie. La mairie est actuellement en mesure de proposer un rendez-vous lors de l’inscription afin que chaque demande soit rapidement honorée.

Les retours des vacciné.e.s sont très positifs sur l’organisation du Centre de vaccination de Contes perçu comme optimale. La mairie propose des solutions pour les personnes ne pouvant se déplacer.

Mairie
6 place du Portal – 06390 Coaraze
04 93 79 34 80 
secretaire.coaraze@wanadoo.fr

Rappel sur l’autorisation de brûlage des végétaux

L’emploi du feu est réglementé par arrêté préfectoral du 10 juin 2014. Concernant le brûlage des végétaux, celui-ci est interdit. Les Coaraziens sont tenus d’éliminer les végétaux par dépôt en déchetterie ou par broyage (paillage /compostage).

Toutefois, une dérogation est accordée aux propriétaires d’arbres fruitiers (olivier, autres fruitiers et mimosas > article 7 de l’arrêté préfectoral du 10 juin 2014), en raison des volumes importants de résidus issus de la taille des ces espèces végétales. L’autorisation vous sera délivrée par le maire, une fois votre déclaration transmise (formulaire ci-après).

Nous attirons l’attention des Coaraziens sur l’obligation de respecter les obligations détaillées sur le formulaire : horaires, précautions, type de végétaux,…). Les résidus végétaux doivent être parfaitement secs (2 mois de séchage sont préconisés).

 

>> Plus d’infos sur la gestion des déchets à Coaraze

Finalisation des travaux de voirie et amélioration de l’assainissement

Les opérations d’amélioration de la voirie qui reçoivent le concours du département au titre de l’année 2020, touchent à leur fin. Menés avec l’entreprise PRPT titulaire du marché , pour un montant de travaux de 65 000 € TTC , l’action a porté essentiellement sur la résolution de problèmes d’écoulement des eaux pluviales sur le réseau routier et de reprise de chaussée.

Un autre programme, inscrit au budget 2021, est en cours d’instruction. L’intensification de l’utilisation sur un réseau routier communal peu adapté au besoin, l’urbanisation progressive, les obstacles à l’écoulement, les réticences des propriétaires à recevoir les eaux amont, engendrent des risques accrus et des conflits d’usages. Face à l’aggravation des épisodes pluvieux c’est un enjeux qui devra être mieux évalué dans le cadre de l’étude d’un schéma directeur.

Des actions d’hydrocurage et d’inspection du réseau des eaux usées avec l’entreprise SMC (Societé Monégasque de Contrôles) ont également été menées suite aux incidents relevés au sud du village.

Et les points de réfection du réseau identifiés

DISTANCE : 7.53 m PHOTO : 29 GRAVITE : 3
OBSERVATIONS :
BACB – Effondrement partiel – épauffrure

 

Par ailleurs est à l’étude, avec une maîtrise d’ouvrage portée par le SILCEN, la disconexion des eaux pluviales du village dont une partie est actuellement renvoyées dans le réseau d’eaux usées ce qui n’est plus admissible et nous pénalise au niveau de l’efficacité de la station d’épuration du Calempaou. La première tranche de remise à niveau de cette station, vient également d’être terminée.