Un nouvel arrêté régissant la pêche en eau douce dans les Alpes-Maritimes vient d’être publié, apportant des modifications importantes pour les pêcheurs. Voici les principaux changements à prendre en compte pour la saison en cours.
– Modification des dates d’autorisation de la pêche des salmonidés en première et deuxième catégorie piscicole : passage d’une date de fermeture de la pêche qui était jusqu’à présent le 3ᵉ samedi du mois de septembre à une nouvelle date, le 2ᵉ dimanche du mois d’octobre. Cela sur l’ensemble des Alpes-Maritimes.
– La pêche dans les lacs de la commune de Tende est désormais autorisée jusqu’au dernier dimanche du mois d’octobre. La date de clôture est ainsi harmonisée pour tous les lacs de la commune, qu’ils soient situés à plus de 1800 mètres d’altitude ou à une altitude inférieure.
Avec pas moins de 108 participants et 400 cartons vendus, le loto organisé par le Comité des Fêtes de Coaraze a fait un véritable carton (et c’est peu de le dire !).
Dans une ambiance chaleureuse et festive, rythmée par des animateurs déchaînés, la soirée s’est déroulée sur plus de 3 heures 30 de suspense et de bonne humeur. En parallèle, les gourmands ont pu profiter d’un stand de petite restauration proposé par le Comité des Fêtes, ajoutant à la convivialité de l’événement.
Le coup d’envoi a été donné avec une partie spécial enfant, suivi de 21 parties ouvertes à tous. À la clé, de nombreux lots très convoités : panier garni, jambon, vélo enfant, produits des producteurs et artisans locaux, électroménager, bons pour des restaurants et, le plus attendu de tous, une PlayStation 5 ! Cette dernière a fait un heureux : un jeune habitant de Coaraze, ravi de repartir avec le précieux lot.
Et pour ceux qui n’ont rien gagné… il reste toujours la revanche l’année prochaine !
Si vous souhaitez vous engager en tant que bénévole au sein du Comité des Fêtes, vous pouvez contacter le président, Thomas Baldoni, par téléphone au 06.24.15.31.54 ou par email à l’adresse suivante : cfcoaraze@gmail.com.
Coaraze a appris avec tristesse la disparition d’un de ses habitants emblématiques, Alain Ducoté, survenue le 4 février dernier. “Son parcours n’est pas classique, mais Ducoté est avant tout une personnalité. Un honnête homme. Elégant dans son attitude comme dans son verbe, modeste et attentif”*. Engagé dans la vie locale, il a occupé le poste de conseiller municipal durant plusieurs années. Toutefois, c’est avant tout en tant qu’artiste talentueux et passionné de locomotives à vapeur qu’il a marqué les esprits. Il laisse derrière lui une œuvre riche, témoignant de son amour pour les belles machines et de la beauté de son art.
Paris – Nice 1928 – Madame Versini – Bugatti
Une vie entre art et chemin de fer
Né en 1932, Alain Ducoté était destiné à une carrière artistique, suivant les traces de son grand-père fondeur d’art et de son père sculpteur. Il intègre les Beaux-Arts de Nice en 1950, mais la passion pour les locomotives à vapeur le pousse à embrasser une carrière de mécanicien de route, tout comme son père avant lui. Il conduit ainsi les mythiques Pacific 231 et Mountain 241 P, jusqu’à la fin de l’époque vapeur en 1968, marquant un tournant dans sa vie.
Retour à la peinture et amour de la vitesse
Désormais dédié à la peinture, Alain Ducoté trouve dans les paysages du sud et la lumière azuréenne une source d’inspiration infinie. Ses œuvres, dominées par des ciels de traîne et des ambiances sereines, capturent l’âme de la Provence, de la Corse et de la Riviera. Mais un autre sujet le passionne : le sport automobile. Spectateur du Grand Prix de Monaco depuis les années 1950, “Il restitue avec beaucoup d’acuité́ les sensations de vitesse ressenties à l’intérieur des autos par les pilotes et à l’extérieur par les spectateurs. Deux espaces temps parallèles fusionnent en des scènes expressionnistes saisissantes”*
Fasciné par la mécanique, Alain Ducoté ne se contente pas de peindre les belles machines : il les collectionne, les restaure et les conçoit. Passionné par la vapeur, il s’inscrit dans la lignée des grands pionniers comme Bollée, Serpollet ou Bugatti. Son chef-d’œuvre : la Mountain 241, une locomotive à vapeur fonctionnelle réalisée à l’échelle 1/10. Cette création monumentale, fruit de 23 ans et plus de 15 000 heures de travail, est un véritable exploit technique. Avec l’accompagnement du Directeur des études de la SNCF, il conçoit une machine capable d’atteindre 25 km/h avec une charge de 1 500 kg.
Mais sa passion ne s’arrête pas aux trains : il imagine et construit de ses propres mains un roadster unique, la Ducoté-Triumph. “Il n’y aura pas de retouches, pas d’autres plans. Il passe à l’acte direc– tement pour 2000 heures de passion. Une Triumph GT6 sert de banque d’organes pour un moteur, sa transmission et le caisson central de la coque. Notre homme a du matériel et du goût. Sus- pensions indépendantes avant et arrière, double triangulation, rotules uniball, carrosserie en acier formée à la main et rivetée ; les détails méritent d’être vus, comme ce démultiplicateur d’embrayage à l’élégance « classique ». Tableau de bord en aluminium bouchonné, vraie grille de boite, un plaisir à contempler.
La Ducoté – Triumph, reçue aux Mines es – qualité, développe 140 chevaux, pèse 850 kilogrammes. Un rapport poids puis- sance très actuel qui donne beaucoup de plaisir à son mécanicien de route. Ce dernier n’omet d’ailleurs jamais de porter ses lunettes de fonction lorsqu’il la pilote sur les routes du Turini ou de Sospel !*
Reconnu pour son expertise et son amour des belles mécaniques, Alain Ducoté est nommé membre d’honneur de l’Automobile Club de Nice et Côte d’Azur, où il expose régulièrement ses œuvres. Homme de passion et d’authenticité, il transcende le temps par son art et son ingéniosité. Comme le résumait son ami Louis Nucéra :
« De ses observations, de ses ferveurs sacrées qui remontent à la prime jeunesse, de son penchant à prendre son temps dans une période de hâte et de désirs sitôt assouvis, sitôt obsolètes, de son imagination, il tire de grands enrichissements. »
À Coaraze, une borne double a été installée à l’intersection de la route de la Chapelle Bleue et de la route départementale 15, renforçant ainsi l’infrastructure locale de recharge pour véhicules électriques.
La Communauté de Communes du Pays des Paillons (CCPP) poursuit son engagement en faveur d’un territoire plus durable avec la mise en service de bornes de recharge électrique. Leur exploitation et gestion ont été confiées à la Société Monégasque de l’Électricité et du Gaz (SMEG), via le réseau Evzen.
Désormais, plusieurs bornes sont opérationnelles dans les communes de Blausasc, Contes, Peille, L’Escarène, Cantaron, Lucéram Peïra Cava et Peillon, offrant aux habitants et visiteurs un accès facilité à ce service innovant et écologique.
À Coaraze, les bornes, désormais en service, sont accessibles au public, facilitant ainsi la recharge des véhicules électriques pour les résidents et les visiteurs.
Pour plus d’informations sur leur utilisation, consultez les consignes affichées sur place ou rendez-vous sur le site web du réseau
Depuis vingt-six ans, le Printemps des Poètes fait de mars un mois d’effervescence littéraire, un véritable champ d’action poétique qui s’étend bien au-delà des frontières françaises. Cet événement unique invite chacun à célébrer la poésie sous toutes ses formes, qu’il s’agisse de professionnels du livre, d’amateurs ou de curieux désirant plonger dans la richesse des mots et des images.
Cette année, la manifestation prend une dimension toute particulière avec un thème puissant et inspirant :
LA POÉSIE. VOLCANIQUE
“Pour dire les volcans en ébullition et les matières rocheuses en fusion, bien entendu. Mais, surtout, l’énergie créative à l’état pur, l’éruption de l’imaginaire, ses coulées de lave, qui changent le mot en vision. Pour dire que la poésie, quand elle jaillit afin de fendre l’horizon et montrer le monde autrement, est effervescence, débordement et, avant tout, force du vivant. Pour dire enfin que l’éruption poétique ne connaît pas de limites. Pensez à tous ces vers qui se sont, lecture après lecture, déposés en vous, une couche après une autre, comme des strates de lave, pensez à la persistance de la vision qu’ils recèlent. Elle rejaillira aussitôt. Puisque la poésie est ainsi. Volcanique.
Coaraze, Village en Poésie, dévoile sa programmation :
Engagé dans la promotion duPrintemps des Poètes, Coaraze vibrera dès le 10 mars au rythme de cet événement, porté par l’implication des Ami·e·s de la Mediatèca et du Centre social APEEC. Au programme : rencontres littéraires, ateliers de création et performances pour tous les publics.
Lundi 10 mars | 18h30 – Conférence d’Alain Freixe : “Pourquoi des poètes ?”
Mercredi 12 mars | 9h30 – 16h30 – Atelier couture spécial Printemps des Poètes
Vendredi 14 mars – Rencontre à l’école Le Blé en herbe avec le poète Patrick Joquel
Samedi 15 mars | 17h30– Inauguration de l’exposition “La Poésie est dans la rue”
Lundi 17 mars | 20h30 – CinéLundi poétique et volcanique
Lundi 24 mars | 9h30 – 16h – Atelier d’écriture “Éruptions de Mots”, animé par Karine Friboulet
Lundi 24 mars | 18h30 – Apéro-livre spécial poésie
Samedi 29 mars | 20h30 – Déambulation poétique dans les ruelles du village
Lundi 31 mars | 18h30 – Parlons-en ! Bilan du Printemps des Poètes 2025
Et du 14 au 31 mars 2025, “les médiathèques municipales et intercommunales membres du réseau départemental de lecture publique des Alpes-Maritimes feront résonner cette poésie en fusion à travers une programmation effervescente : lectures incandescentes, performances sonores, rencontres et ateliers pour embraser les imaginaires.” Retrouvez le programme => livret_printemps_poetes2025
Le vendredi 7 février, l’après-midi à Coaraze a été rythmés par le Carnaval des enfants, malgré un temps maussade mais sans pluie. Les enfants des trois classes, accompagnés de leurs maîtresses, animatrices et de certains parents, ont défilé dans les rues du village, vêtus de déguisements colorés.
En musique et en chansons, guidée dans les ruelles par Patrice, la joyeuse troupe a progressé jusqu’à la place du château. C’est là, à la fin du parcours, qu’une grande bataille de confettis a éclaté, projetant une myriade de couleurs dans le ciel gris… et sur les accompagnateurs aussi ! L’élue déléguée à la petite enfance et l’adjoint à la culture, qui ont également pris part à la fête, n’ont pas été épargnés.
C’est en regagnant l’enceinte de lécole que les enfants ont pu profiter d’un goûter avec des bugnes offertes par la mairie. Une délicieuse manière de clôturer cette journée festive avant les vacances !
La commune de Coaraze a eu la chance d’accueilli, en janvier, deux résidences artistiques, célébrant à la fois la danse contemporaine et la musique traditionnelle.
D’un côté, la chorégraphe franco-américaine Murielle Elizéon et son partenaire de danse Alexandre ont exploré la relation au mouvement et au duo en danse.
De l’autre, le duo musical Benoît Roblin (vielle à roue) et Caroline Carton (accordéon) ont partagé leur passion pour les musiques à danser.
Bien que ces résidences aient évolué séparément, elles ont favorisé des échanges entre les artistes et avec les habitants, enrichissant l’atmosphère du village. Murielle Elizéon, dans le cadre de son projet Anatomy of Care, a travaillé sur l’improvisation et la conscience du corps à travers le duo en danse. Benoît et Caroline, quant à eux, ont fait vivre le répertoire traditionnel en jouant dans les rues du village et en créant des moments de convivialité.
Un week-end de clôture festif
Samedi 18 janvier : Baléti animé par Benoît et Caroline, précédé d’ateliers de musique et de danses traditionnelles avec Corinne Borsotto. Ce bal a rassemblé stagiaires et habitants dans une ambiance joyeuse et festive.
Les participants ont également partagé un repas dans une ambiance des plus conviviales
Dimanche 19 janvier: Atelier de tango avec Murielle et Alexandre, permettant à la vingtaine de participants d’explorer la connexion et l’écoute à travers le mouvement. Cette initiation a mis en lumière les principes du projet : conscience du corps, fluidité, connexion et jeu.
La commune les remercie chaleureusement pour leur talent et leur générosité. Ces moments de création et d’échange resteront dans la mémoire des Coarazien.nes, en attendant de nouvelles aventures artistiques !
Le Groupe SACPA propose plusieurs brochures détaillant les démarches à suivre face aux différentes situations impliquant des animaux en milieu urbain. Elle explique comment signaler un animal perdu ou trouvé, comment sont pris en charge les animaux en divagation et quels sont les acteurs compétents selon les cas (animaux domestiques, sauvages, blessés ou abandonnés).
Informations sur la restitution des animaux en fourrière
Ce document informe les propriétaires sur les démarches à suivre pour récupérer un animal en fourrière. Il détaille les tarifs en vigueur, les délais légaux de garde et les formalités nécessaires. Il rappelle également les sanctions applicables en cas d’abandon, conformément à la législation.
Par ailleurs, un service de rapatriement est disponible pour les propriétaires ne pouvant pas se déplacer.
VigiPets : un service connecté pour retrouver son animal
Lorsqu’un animal est perdu ou trouvé, il est essentiel d’agir rapidement. SACPA a développé VigiPets.fr, une plateforme qui permet de déclarer en temps réel un animal disparu ou retrouvé. Ce service est relié aux centres animaliers partout en France pour faciliter les retrouvailles.
Pour toute information complémentaire, le centre animalier de Falicon est joignable par téléphone au 04 97 14 02 77 ou par mail à falicon@sacpa.fr.
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