Noël à l’école et décoration de la place Sainte Catherine

Il a fallu s’adapter pour fêter Noël à l’école cette année. Après un trimestre marqué par les contraintes imposées par la crise sanitaire et par la gestion chaotique au jour le jour de l’Éducation nationale, la fin de l’année s’est terminée de façon festive !

Impossible de réunir tous les enfants pour un spectacle et la distribution des livres offerts par le père Noël municipal dans la salle des Cadrans solaires. C’est donc classe après classe que les enfants ont assisté, vendredi 11 décembre, au spectacle de marionnettes proposé par la Compagnie Gorgomar, présenté par Aurélie Péglion et Fanny Tissot dans la salle polyvalente de la médiathèque.

Puis, c’est à l’intérieur de chacune des trois classes qu’ont été distribués, le vendredi suivant par Christine Torri (conseillère municipale déléguée à l’enfance et à la jeunesse) et Eva Berton-Faure (conseillère municipale, membre de la commission enfance et jeunesse), les livres sélectionnés par les enseignantˑes et le goûter préparé par Stéphanie, gérante du bistronomique Lo Castel.

Dans l’après-midi, juste avant cette distribution, les enfants ont grandement contribué, accompagnés par leurs enseignantˑes, à la “décoration participative” des arbres de Noël installés sur la place Sainte-Catherine par une petite équipe d’élus et d’habitants de Coaraze.

Distribution des traditionnels “paniers de Noël” à nos aîné-es

Les traditionnels “paniers de Noël” des ainéˑes ont été distribués aux Coaraziennes et Coaraziens ayant atteint ou dépassé l’âge de 70 ans.

Offerts par le CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) présidé par Jean-Claude Cappatti, second adjoint au maire, ce ne sont pas moins de 90 coffrets individuels et 36 destinés aux couples qui sont venus agrémenter les repas festifs de fin d’année.

Commandés à la société Gourmets de Provence-Générations Versio, PME établie à Falicon, les colis étaient composés en totalité de produits régionaux de Provence, auxquels furent ajoutés deux produits “made in Coaraze” : une savonnette de Sophie Robin et un pot de gelée de citron de Caroline Laperdrix.

Un mot, très chaleureux, de Madame le Maire, au nom de tout le conseil municipal et une carte de vœux complétaient ces “paniers de Noël” qui, si l’on en croit les retours très positifs adressés au secrétariat de mairie, ont particulièrement satisfait celles et ceux qui les ont reçus.

Convention passée avec le chenil de Mougins pour les chiens errants

Suite aux derniers incidents rencontrés, une convention a été passée avec le chenil du groupe SACPA de Mougins pour un montant annuel de 1396,78€ du 1/01/2021 au 31/12/2021 reconductible 3 fois tacitement qui comprend :

  • la capture 24h/24 des animaux captifs ou errants
  • l’enlèvement des animaux morts (inférieur à 40kg)
  • les gardes sociales des chiens et chats de personnes hospitalisées, incarcérées, expulsées ou décédées (8 jours max, après le Maire décidera du devenir de l’animal)
  • l’exploitation de la fourrière
  • les frais de garde durant les délais légaux ( 8 jours ouvrés)
  • la cession des animaux à une association de protection animale signataire de la charte éthique
  • la prise en charge des frais conservatoires des animaux blessés sur la voie publique à hauteur de 100€

Les interventions se réalisent dans un délai contractuel de 2h. Ce contrat exclut la stérilisation des chats libres.

Nouvel horaire de bus pour les lycéens à partir de janvier 2021

Suite à une demande relayée par Madame le Maire, le service de bus a été modifié afin de prendre en charge les lycéens de Drap qui sortent à 16h00 et veulent remonter directement au village.

Ainsi, à compter du lundi 4 janvier 2021, le départ scolaire de 16h00 de Nice direction Coaraze passera désormais par le lycée Goscinny à 16h20 pour prendre en charge les Coaraziens.

Vous pouvez nous faire part de vos remarques et propositions en répondant au questionnaire en ligne ci-dessous.

Questionnaire à compléter en ligne relatif aux transports en commun à Coaraze

La Médiathèque-Médiatèca municipale rouvre au public

La Mairie et l’équipe de bénévoles sont heureux de vous annoncer la réouverture de la Médiathèque-Médiatèca municipale !

Pierre, Sylvie, Nicole, Gaby, Marcel et Odette seront ravi-e-s d’accueillir à nouveau petits et grands pour découvrir, lire et emprunter livres et DVDs pendant les horaires d’ouverture.

Dans le contexte sanitaire actuel, le port du masque et les distances sanitaires doivent être respectés.

Horaires d’ouverture :
lundi, mardi et samedi de 16h30 à 18h00
mercredi de 18h00 à 20h00
vendredi de 11h30 à 12h30

>> Plus d’infos sur la Médiathèque – Mediatèca

Reprise de permanence d’une assistante sociale tous les 1ers jeudis du mois

La permanence de l’assistante sociale est de nouveau assurée tous les 1er jeudis du mois. En raison de la crise sanitaire et jusqu’à nouvel ordre, les entretiens ne seront réalisés uniquement par téléphone :

Madame Dominique MAZZONI
Assistante sociale
04 89 04 39 40

Les permanences en présentiel reprendront dans le bureau situé à côté de l’Agence postale, dans les locaux de la Mairie, sur RDV auprès de La Maison des Solidarités Départementales, lieu d’information et de conseil sur la protection des personnes vulnérables (enfants, personnes en situations d’handicap…) et les aides sociales sur le territoire communal.

Maison des Solidarités Départementales
04 89 04 39 40
www.departement06.fr

Discours de Mme Le Maire lors de la Cérémonie du 11 novembre

C’est sans public, en présence des seulˑes conseillères et conseillers municipaux et de deux gendarmes montés de Nice, que s’est déroulée la cérémonie de souvenir et d’hommage aux victimes de la guerre de 14-18. Bien que l’assistance fût réduite, en raison des contrevîntes du confinement, madame le maire a tenu à lire le discours qu’elle a rédigé pour ce jour particulier.

À l’issue de cette lecture – et de celle du court billet de Geneviève Darrieussecq (ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants) : dépôt de gerbe par les deux plus jeunes membres du conseil municipal (Cécile et Olivier) Marseillaise et minute de silence. Puis chacune et chacun s’est séparé… sans le traditionnel apéritif d’honneur !

Chères Coaraziennes, chers Coaraziens,

Ce 11 novembre 2020 est une date majeure dans l’histoire de France et dans celle de la Commune de Coaraze, comme dans toutes les communes de France : la commémoration de la Victoire et de l’armistice de 14-18 menant à  la Paix.

Les noms de jeunes Coaraziens enrôlés par conviction ou par force, suite à la mobilisation générale de 1914, gravés dans le marbre, nous rappellent le vide affectif créé dans les familles et la perte d’une force vive pour les rudes travaux de la terre.

Sur la place du château silencieuse ; comme recueillie ; pas sans public, sans apéritif d’honneur, seule une gerbe de fleurs bleu-blanc-rouge rappelle le message de respect, de reconnaissance, d’hommage envers les poilus de la Grande Guerre (grande par le nombre de morts, et grande par le nombre de nations engagées). Hommes partis pour combattre l’ennemi la fleur au fusil, persuadés dans l’euphorie générale de revenir très vite du front, et qui se sont enlisés dans la boue des tranchées pendant quatre ans, quatre années qui les ont cassés dans leurs corps et dans leurs âmes

La première guerre mondiale a marqué un tournant dans l’évolution de la guerre par l’emploi d’innovations techniques considérablement destructrices : chars, aviation, gaz. Les hommes n’ont pas été ménagés face à de telles forces. La guerre a abouti à un carnage sans précédent et à une totale démesure entre les coûts humains et économiques et les objectifs politiques du conflit. La France ruinée avait perdu 1 400 000 hommes jeunes et devaient assumer la charge d’un million d’invalides. Bien que du côté des vainqueurs, la France sortait considérablement affaiblie du bain suicidaire de l’Europe.

Et ceux qui n’étaient pas au front et qui ont assumé les conséquences dramatiques de ce désastre : les ainés, les enfants et particulièrement les femmes, ils ont droit eux aussi à une reconnaissance. Ce sont des victimes « collatérales », tellement d’actualités dans les guerres d’aujourd’hui qui, sur ce point, n’ont pas évolué bien au contraire.

L’invasion et la progression des troupes allemandes en Belgique et dans le Nord et l’Est de la France jetèrent sur les routes des milliers de réfugiés. Une foule de vieillards, de malades, de femmes, d’enfants. En langage militaire «  des bouches inutiles ».

L’histoire semble bégayer, ce n’est plus au niveau national, mais au niveau mondial que se passent ces transferts de population au XXIe siècle. D’autres réfugiés sont toujours là, fuyant d’autres guerres, posant les mêmes difficultés d’intégration, problèmes que nos plus hauts dirigeants n’ont pas la détermination de résoudre.

Dans ce monde informatisé au maximum, où tout le monde sait dans l’instant ce que fait l’autre, ce que pense l’autre, Facebook, Twitter se chargeant de mettre à nu la vie privée de chacun, débordant d’informations vraies, fausses peu importe, des gens meurent sur la route de l’exil, victimes des « passeurs », dans des canots au cœur de la Méditerranée et maintenant de la Manche.

La solution n’est pas simple, mais ne pas la chercher risque fort de nous entrainer dans un engrenage de haine et d’irrationalité où le respect de l’autre n’est plus entendu.

En 1914, cette guerre totale avait mobilisé toute l’énergie de la Nation. Tandis que les départements envahis étaient totalement dévastés, la guerre se soldait pour les autres départements, comme les Alpes-Maritimes par de lourdes contributions qui avaient bouleversé les équilibres économiques et humains.

Le département des Alpes-Maritimes, de part son éloignement du front et sa tranquillité, reçut la charge d’accueillir largement ceux que la guerre avaient frappés en première ligne : Français, Belges, ressortissants des pays alliés : des Serbes, des Russes, des Hollandais… puis des Alsaciens, des Lorrains, des étrangers originaires de régions neutres ainsi que les soldats blessés;

L’assistance aux réfugiés correspondait à une véritable dette contractée par la Nation à l’égard d’une catégorie de citoyens qui a eu à supporter la plus lourde part de misères provoquées par la guerre. Telles étaient les instructions ministérielles du 18 février 1918.

Ils furent près de 10 000 à trouver refuge dans notre département. Ce qui fut fait non sans mal avec plus ou moins de sollicitude. C’est ainsi que des familles de la Bassée dans le Nord furent accueillies à Coaraze en mai 1915.

À la solidarité territoriale que je viens d’évoquer, instituée par l’État et les exigences de la guerre, s’est ajoutée la solidarité issue des initiatives des civils. Combien de tricots, de passe-montagne, de colis alimentaires, de dons, de sacs, de paroles confectionnés par des volontaires ont apportés un peu de réconfort dans les tranchées ?

Les civils étaient à la fois les soutiens indispensables et les victimes d’une guerre d’usure qui s’enlisaient.

Cette solidarité civique est un atout indispensable pour la société mise à mal, elle traverse toutes les crises et catastrophes sans faiblir, nous l’avons bien vu pour les sinistrés des vallées de la Vésubie et de la Roya. Les Coaraziennes et Coaraziens ont largement participé à cette aide : merci.

Si la fierté et l’orgueil national étaient cultivés par les autorités, la permanence des drames pesait de plus en plus sur le moral de la population. L’économie était totalement désorganisée. Mais « il fallait tenir ! ». Ce pourrait être un slogan à remettre au goût du jour dans la période que nous vivons.

Pendant la Grande guerre, ce sont les femmes qui ont tenu et qui ont pris des initiatives. Le départ des hommes donna aux femmes des responsabilités nouvelles. Ce sont elles qui ont repris les activités de commerces, d’entreprises artisanales et d’exploitations agricoles, qui fournirent la main d’œuvre dans les usines de guerre. Une fois le devoir accompli, elles furent aimablement appelées à retourner dans leur foyer «  pour enfanter », et n’eurent pas même le droit de vote qu’elles réclamaient !

Il ne fallait pas dans ce monde déréglé troubler le retour à la paix et à la sécurité !

Mais le ver était déjà dans la pomme !

Comme leurs mères, les enfants ont dû prendre toute leur part au travail à la campagne comme à la ville. Beaucoup d’entre eux ne suivaient plus les cours à l’école, et les orphelins très nombreux, traumatisés par la guerre, formés à la douleur, héritiers des martyrs, ne cessaient de proclamer leur rejet de la guerre et voulaient constituer la génération de la Paix !! On aurait pu y croire.

Même si les témoins ne sont plus là pour raconter, même si les générations suivantes sont retombées dans la spirale de la guerre, même si on enseigne aux nouvelles générations cet épisode édifiant de leur histoire, la monstruosité de cette guerre aux conséquences désastreuses sert encore de repère sur ce que les hommes et les femmes sont capables de faire pour le pire, mais aussi pour le meilleur.

Dans le contexte actuel de confinement où distanciation physique et gestes barrières s’imposent, seuls les membres du Conseil municipal et moi-même vous représentons devant le monument aux Morts et chantons la Marseillaise, sans la chorale des élèves de l’école de Coaraze qui pour la première fois devait être présente.

Merci Monsieur Le Directeur, votre initiative est remarquable, le devoir de mémoire et l’enseignement de l’Histoire sont fondamentaux pour que les enfants aient une connaissance laïque du monde d’hier, qui explique le monde présent et prépare le monde de demain.

Il y a 102 ans, un poilu donnait sa vie pour défendre la liberté, la fraternité et l’égalité, pour protéger la République, certains de ces poilus ont été fusillés parce qu’ils ont pris la liberté de contrer l’absurdité d’une guerre inhumaine ; aujourd’hui un professeur d’histoire a perdu la sienne pour le droit à l’instruction, pour la liberté de conscience et d’expression, pour l’école publique, symbole de cette même République.

Rendre hommage à cet enseignant dévoué à son métier qui est d’instruire, c’est-à-dire de construire des êtres humains conscients, libres d’assurer leurs destinées, est un acte de résistance contre la barbarie des fanatiques religieux qui n’ont pas cette liberté de pensée que donne l’instruction publique, contre les porteurs de haine prêts à vouer aux gémonies une partie de la population.

Le Conseil municipal de Coaraze témoigne à la famille de Samuel Paty sa profonde solidarité dans cette cruelle épreuve.

Le combat pour la Démocratie est un éternel recommencement, il doit faire face à toute sorte d’attaques qu’elles soient politiques, religieuses, économiques, sociétales, climatiques et virales.

Le terrorisme religieux n’a pas de limite pour arriver à ses fins. Attentat après attentat il devient évident que le pays des Lumières est une cible idéale pour : briser la France, nation des droits de l’Homme.

Mais les formes de lutte contre ce terrorisme peuvent être tout aussi dangereuses si les « solutions » sont des réactions xénophobes engagées par la peur ou par la manipulation, si la remise en cause des institutions républicaines et de l’État de droit se généralise.

Pendant la guerre de 14-18, il y avait ceux qui étaient au front dans l’odeur de mort et dans la boue et les autres, à l’arrière, sans doute inquiets, souffrants de la séparation, mais rattachés à un quotidien vivable.

De nos jours, les fronts sont au coin de la rue ; situation beaucoup plus troublante et déstabilisante. Cette individualisation de la violence terroriste est un fait inéluctable.

Comment relever ce défi ? Comment ne pas stigmatiser toute une population qui n’a rien demandé, seulement parce qu’elle croit autrement ? Comment ressouder une société qui s’est divisée déjà depuis longtemps, qui a créé ses propres foyers de non-droit ? Comment redonner à la laïcité le rôle qu’elle n’aurait jamais dû perdre ?

  • Affronter avec la plus extrême vigueur les actes abominables, les lois existent déjà, il faut en faire meilleur usage.
  • Combattre la haine en ligne, en freiner les effets nocifs diffusés sur les réseaux sociaux : ce sont eux qui rapportent le plus aux grandes boîtes de diffusion. La liberté d’expression n’est pas la liberté de faire du buzz sans en mesurer les effets. Aucun contrôle n’est en place contre ces déchainements de haine. Chacun libère ses affects et ses passions tristes qui peuvent avoir des conséquents terribles dans la vie des gens. Provoquer (solution de facilité !) n’est pas la solution. Humilier et nier l’identité des gens non plus.
  • Supprimer les inégalités qui entrainent une population vers une spirale infernale et qui peut finir par voir dans l’extrémisme religieux une solution pour exister.

Cette époque tendue a besoin de dialogue, de connaissance et de réflexion ; l’actuelle surenchère médiatico-politicienne n’est pas un signe d’avancée. Il faut pouvoir nommer les choses clairement et ne pas créer d’amalgames tendancieux. Camus disait : «  mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. »

En 14-18, le retour à la paix aura attendu quatre ans. Et il aura fallu plusieurs années pour reconstruire le cœur des hommes et des femmes. Combien en faudra-t-il pour retrouver une société sereine et épanouie en ce début de XXI e siècle ?

La solidarité, la compréhension, la raison, le bon sens ne doivent rien lâcher. Ce n’est pas une fatalité si nous en sommes là : un virus qui met le monde à genou, des désastres climatiques qui font très mal, des fanatiques qui s’attaquent à la démocratie, des mesures de plus en plus liberticides… cela fait beaucoup , aura-t-on l’esprit assez éclairé pour surmonter ce marasme ?

Bégaiement de l’histoire : crises, austérité, inégalités croissantes, conflits, famine, dégradation du milieu naturel et du climat, terrorisme… nous vivons encore dans une société anxiogène, une société qui angoisse tout comme à l’ époque de la Grande guerre.

En 1929 Freud disait qu’il existe des pulsions qui, dans notre vie en commun nous font rechercher des solutions à la souffrance. Certaines tendent vers la destruction et le repli sur soi, mais d’autres privilégient les relations d’ouverture et de coopération : des citoyennes et des citoyens réagissent, décident de prendre l’initiative. et Localement, chacun dans son domaine, trouvent des solutions aux défis de notre époque ; des solutions qui marchent, des solutions qui n’attendent pas tout du pouvoir centralisateur.

Dans cette société mondialisée, surinformée, surinformatisée et où le respect de l’humain est défaillant ;

Dans ce monde masqué, qui ne demande qu’à respirer ;

Être vigilant pour la liberté de tous ;

Être solidaire pour une égalité partagée ;

Être respectueux de l’autre pour la fraternité des hommes ;
sont les valeurs indispensables pour une démocratie viable

Vive la République, vive la France, vive Coaraze !”

Monique Giraud-Lazzari
Maire de Coaraze

Questionnaire à compléter en ligne pour le projet de Bureau médical à Coaraze

Madame le Maire et la Commission Santé – Social souhaitent mettre en place un bureau médical pour l’ensemble des habitants de la commune de Coaraze.

Il s’agirait d’un bureau pouvant accueillir des personnels médicaux et paramédicaux accessible à tous.

Afin de connaître au mieux vos besoins nous vous proposons de remplir un questionnaire afin de nous guider dans l’élaboration de ce projet. Ce document est à remplir en ligne EN CLIQUANT ICI, ou à imprimer ci-dessous et à retourner à la mairie.

Nous vous remercions pour votre participation et restons à votre écoute pour toute suggestion et complément d’information.

 

>> Plus d’infos sur les services de santé et sociaux à Coaraze

Mairie
6 place du Portal – 06390 Coaraze
04 93 79 34 80
secretaire.coaraze@wanadoo.fr
Ouverture au public :
lundi, mardi, jeudi, vendredi de 8h30 à 16h30
mercredi de 9h à 12h
samedi de 8h30 à 11h30

Du RDC au 2ème étage : point sur les travaux du parking Nord

Le 13 octobre 2020, la dalle du rez de chaussée est coulée. Les élévations des murs se poursuivent en suivant la cadence de la mise en place des ferraillages et du coffrage/décoffrage des banches. Au rythme bien réglé de deux toupies béton, une matin et une le soir, chaque jour.

Les étayages permettant les installations des prédalles du niveau 1 sont entrepris. Il s’agit de dalles minces en béton armé préfabriquées sur mesure en usine, elles ont l’avantage de servir de plafond et de support intégré pour le coulage de la dalle proprement dite.

L’Installation des prédalles du niveau 1 est réalisée.

Le 6 novembre la dalle du niveau 1 est coulée. Nouvelle opération lourde et bien menée qui se termine à la nuit.

Les élévations et les étayages nécessaires à la construction pour le niveau 2 sont entrepris en répétant la séquence précédente : élévations, poutres prédalles. Le coulage de la dalle est programmée pour le 8 décembre.

Désormais l’aspect et l’organisation du parking sont bien visibles.

Depuis le passage de l’étape cruciale des fondations au mois d’octobre le chantier avance et l’on peut mesurer le chemin parcouru.

Prochain objectif mettre en œuvre le niveau 3 – et dernier – avant la fin janvier 2021. Le gros œuvre touchera alors à sa fin.

>> Plus d’infos sur le projet du parking Nord

Décoration participative à l’arbre de Noël Coarazien!

Noël approche et notre village sera bientôt décoré et illuminé, par la municipalité mais aussi par ses habitants, pour lui donner un air de fête dans un esprit chaleureux !

Chacun est donc invité à participer à la décoration de Noël de la commune, devant chez soi bien sûr, mais aussi en confectionnant une décoration selon son imagination à venir fixer sur l’arbre de Noël municipal !

Bien entendu, il sera demandé à chaque personne de ne prendre aucun risque pour sa santé et il en sera de même pour accrocher les décorations, cette opération devant se faire à bout de bras, selon sa propre hauteur.

Pensez à la conception de votre décoration qui devra résister aux conditions climatiques hivernales. Les décorations en verre seront interdites en regard de la casse et des blessures qu’elles pourraient occasionner.

Créer à partir de matériaux de récupération tels que bois, tissu… est aussi un bon moyen de sensibiliser petits et grands au recyclage!