Dans la salle des Cadrans solaires.
Pour celles et ceux qui n’ont pas pu participer au vernissage, samedi dernier, de l’exposition de Martin Miguel…
Et celles et ceux qui ont participé au vernissage, mais voudraient se replonger dans l’univers de Martin Miguel, peuvent le faire !
L’exposition de MARTIN MIGUEL est accessible aux heures d’ouverture de la mairie pour visiter, s’adresser au secrétariat (1er étage).
À propos de Martin MIGUEL :
Martin Miguel est né en 1947 à Nice.
À 20 ans, à sa sortie de l’École d’art de Nice, son environnement immédiat est celui des Nouveaux Réalistes et de Fluxus. Il est particulièrement sensible à l’œuvre de Yves Klein. La question du moment, avec notamment, Simon Hantaï et le Groupe BMPT, est de reconsidérer la peinture et ses constituants et en élaborer un sens nouveau.
En janvier 1970, il s’associe à Isnard, Chacallis, Charvolen et Maccaferri pour former le Groupe70, parallèlement au groupe Support-Surface.
Ce travail, qui interroge, depuis son origine la relation entre espace plastique et espace physique, s’est particulièrement concrétisé depuis 1986 par la mise en œuvre du béton et de la couleur ; il creuse systématiquement la question entre peinture et mur.
À propos de l’exposition :
Les éditions L’Amourier publient un livre, Cavalcade au seuil de l’Éden, écrit par Raphaël Monticelli « avec une trentaine de propositions de chevaux, œuvres en quadrichromie de Martin Miguel ».
Ce sont les œuvres originales qu’on verra dans cette exposition.
Un cheval a quitté Lascaux, sa caverne natale. Dans son vagabondage, il a croisé le chemin de l’artiste Martin Miguel. Avec mille précautions, l’artiste s’est approché du cheval, a gagné sa confiance, s’en est fait un ami et l’a représenté de toutes sortes de façons. Voici vingt mille ans, il était l’âme de la paroi, sur elle modelé par des mains et des souffles chargés de couleurs.
Aujourd’hui, avec le papier, la colle, le sable, le bois, le métal, les découpes, les déchirures, les pigments Martin Miguel lui parle, l’interroge, s’interroge. Dialogue peut-être avec l’artiste du paléolithique, notre définitif contemporain. Le texte de Raphaël Monticelli accompagne l’aventure du peintre, évoque notre trouble rapport à la préhistoire, se mêle à la cavalcade jusqu’au seuil de l’Éden.
Renseignements :
Mairie de Coaraze :
–> Plus d’infos sur : Les éditions de l’amourier
–> Plus d’infos sur : Martin MIGUEL
Motivé et soutenu par des Coaraziens aguerris à la pratique, et coordonné par l’EVS, un groupe “Rando” vient d’être créé.
