La Médiathèque-Médiatèca municipale rouvre au public

La Mairie et l’équipe de bénévoles sont heureux de vous annoncer la réouverture de la Médiathèque-Médiatèca municipale !

Pierre, Sylvie, Nicole, Gaby, Marcel et Odette seront ravi-e-s d’accueillir à nouveau petits et grands pour découvrir, lire et emprunter livres et DVDs pendant les horaires d’ouverture.

Dans le contexte sanitaire actuel, le port du masque et les distances sanitaires doivent être respectés.

Horaires d’ouverture :
lundi, mardi et samedi de 16h30 à 18h00
mercredi de 18h00 à 20h00
vendredi de 11h30 à 12h30

>> Plus d’infos sur la Médiathèque – Mediatèca

Discours de Mme Le Maire lors de la Cérémonie du 11 novembre

C’est sans public, en présence des seulˑes conseillères et conseillers municipaux et de deux gendarmes montés de Nice, que s’est déroulée la cérémonie de souvenir et d’hommage aux victimes de la guerre de 14-18. Bien que l’assistance fût réduite, en raison des contrevîntes du confinement, madame le maire a tenu à lire le discours qu’elle a rédigé pour ce jour particulier.

À l’issue de cette lecture – et de celle du court billet de Geneviève Darrieussecq (ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants) : dépôt de gerbe par les deux plus jeunes membres du conseil municipal (Cécile et Olivier) Marseillaise et minute de silence. Puis chacune et chacun s’est séparé… sans le traditionnel apéritif d’honneur !

Chères Coaraziennes, chers Coaraziens,

Ce 11 novembre 2020 est une date majeure dans l’histoire de France et dans celle de la Commune de Coaraze, comme dans toutes les communes de France : la commémoration de la Victoire et de l’armistice de 14-18 menant à  la Paix.

Les noms de jeunes Coaraziens enrôlés par conviction ou par force, suite à la mobilisation générale de 1914, gravés dans le marbre, nous rappellent le vide affectif créé dans les familles et la perte d’une force vive pour les rudes travaux de la terre.

Sur la place du château silencieuse ; comme recueillie ; pas sans public, sans apéritif d’honneur, seule une gerbe de fleurs bleu-blanc-rouge rappelle le message de respect, de reconnaissance, d’hommage envers les poilus de la Grande Guerre (grande par le nombre de morts, et grande par le nombre de nations engagées). Hommes partis pour combattre l’ennemi la fleur au fusil, persuadés dans l’euphorie générale de revenir très vite du front, et qui se sont enlisés dans la boue des tranchées pendant quatre ans, quatre années qui les ont cassés dans leurs corps et dans leurs âmes

La première guerre mondiale a marqué un tournant dans l’évolution de la guerre par l’emploi d’innovations techniques considérablement destructrices : chars, aviation, gaz. Les hommes n’ont pas été ménagés face à de telles forces. La guerre a abouti à un carnage sans précédent et à une totale démesure entre les coûts humains et économiques et les objectifs politiques du conflit. La France ruinée avait perdu 1 400 000 hommes jeunes et devaient assumer la charge d’un million d’invalides. Bien que du côté des vainqueurs, la France sortait considérablement affaiblie du bain suicidaire de l’Europe.

Et ceux qui n’étaient pas au front et qui ont assumé les conséquences dramatiques de ce désastre : les ainés, les enfants et particulièrement les femmes, ils ont droit eux aussi à une reconnaissance. Ce sont des victimes « collatérales », tellement d’actualités dans les guerres d’aujourd’hui qui, sur ce point, n’ont pas évolué bien au contraire.

L’invasion et la progression des troupes allemandes en Belgique et dans le Nord et l’Est de la France jetèrent sur les routes des milliers de réfugiés. Une foule de vieillards, de malades, de femmes, d’enfants. En langage militaire «  des bouches inutiles ».

L’histoire semble bégayer, ce n’est plus au niveau national, mais au niveau mondial que se passent ces transferts de population au XXIe siècle. D’autres réfugiés sont toujours là, fuyant d’autres guerres, posant les mêmes difficultés d’intégration, problèmes que nos plus hauts dirigeants n’ont pas la détermination de résoudre.

Dans ce monde informatisé au maximum, où tout le monde sait dans l’instant ce que fait l’autre, ce que pense l’autre, Facebook, Twitter se chargeant de mettre à nu la vie privée de chacun, débordant d’informations vraies, fausses peu importe, des gens meurent sur la route de l’exil, victimes des « passeurs », dans des canots au cœur de la Méditerranée et maintenant de la Manche.

La solution n’est pas simple, mais ne pas la chercher risque fort de nous entrainer dans un engrenage de haine et d’irrationalité où le respect de l’autre n’est plus entendu.

En 1914, cette guerre totale avait mobilisé toute l’énergie de la Nation. Tandis que les départements envahis étaient totalement dévastés, la guerre se soldait pour les autres départements, comme les Alpes-Maritimes par de lourdes contributions qui avaient bouleversé les équilibres économiques et humains.

Le département des Alpes-Maritimes, de part son éloignement du front et sa tranquillité, reçut la charge d’accueillir largement ceux que la guerre avaient frappés en première ligne : Français, Belges, ressortissants des pays alliés : des Serbes, des Russes, des Hollandais… puis des Alsaciens, des Lorrains, des étrangers originaires de régions neutres ainsi que les soldats blessés;

L’assistance aux réfugiés correspondait à une véritable dette contractée par la Nation à l’égard d’une catégorie de citoyens qui a eu à supporter la plus lourde part de misères provoquées par la guerre. Telles étaient les instructions ministérielles du 18 février 1918.

Ils furent près de 10 000 à trouver refuge dans notre département. Ce qui fut fait non sans mal avec plus ou moins de sollicitude. C’est ainsi que des familles de la Bassée dans le Nord furent accueillies à Coaraze en mai 1915.

À la solidarité territoriale que je viens d’évoquer, instituée par l’État et les exigences de la guerre, s’est ajoutée la solidarité issue des initiatives des civils. Combien de tricots, de passe-montagne, de colis alimentaires, de dons, de sacs, de paroles confectionnés par des volontaires ont apportés un peu de réconfort dans les tranchées ?

Les civils étaient à la fois les soutiens indispensables et les victimes d’une guerre d’usure qui s’enlisaient.

Cette solidarité civique est un atout indispensable pour la société mise à mal, elle traverse toutes les crises et catastrophes sans faiblir, nous l’avons bien vu pour les sinistrés des vallées de la Vésubie et de la Roya. Les Coaraziennes et Coaraziens ont largement participé à cette aide : merci.

Si la fierté et l’orgueil national étaient cultivés par les autorités, la permanence des drames pesait de plus en plus sur le moral de la population. L’économie était totalement désorganisée. Mais « il fallait tenir ! ». Ce pourrait être un slogan à remettre au goût du jour dans la période que nous vivons.

Pendant la Grande guerre, ce sont les femmes qui ont tenu et qui ont pris des initiatives. Le départ des hommes donna aux femmes des responsabilités nouvelles. Ce sont elles qui ont repris les activités de commerces, d’entreprises artisanales et d’exploitations agricoles, qui fournirent la main d’œuvre dans les usines de guerre. Une fois le devoir accompli, elles furent aimablement appelées à retourner dans leur foyer «  pour enfanter », et n’eurent pas même le droit de vote qu’elles réclamaient !

Il ne fallait pas dans ce monde déréglé troubler le retour à la paix et à la sécurité !

Mais le ver était déjà dans la pomme !

Comme leurs mères, les enfants ont dû prendre toute leur part au travail à la campagne comme à la ville. Beaucoup d’entre eux ne suivaient plus les cours à l’école, et les orphelins très nombreux, traumatisés par la guerre, formés à la douleur, héritiers des martyrs, ne cessaient de proclamer leur rejet de la guerre et voulaient constituer la génération de la Paix !! On aurait pu y croire.

Même si les témoins ne sont plus là pour raconter, même si les générations suivantes sont retombées dans la spirale de la guerre, même si on enseigne aux nouvelles générations cet épisode édifiant de leur histoire, la monstruosité de cette guerre aux conséquences désastreuses sert encore de repère sur ce que les hommes et les femmes sont capables de faire pour le pire, mais aussi pour le meilleur.

Dans le contexte actuel de confinement où distanciation physique et gestes barrières s’imposent, seuls les membres du Conseil municipal et moi-même vous représentons devant le monument aux Morts et chantons la Marseillaise, sans la chorale des élèves de l’école de Coaraze qui pour la première fois devait être présente.

Merci Monsieur Le Directeur, votre initiative est remarquable, le devoir de mémoire et l’enseignement de l’Histoire sont fondamentaux pour que les enfants aient une connaissance laïque du monde d’hier, qui explique le monde présent et prépare le monde de demain.

Il y a 102 ans, un poilu donnait sa vie pour défendre la liberté, la fraternité et l’égalité, pour protéger la République, certains de ces poilus ont été fusillés parce qu’ils ont pris la liberté de contrer l’absurdité d’une guerre inhumaine ; aujourd’hui un professeur d’histoire a perdu la sienne pour le droit à l’instruction, pour la liberté de conscience et d’expression, pour l’école publique, symbole de cette même République.

Rendre hommage à cet enseignant dévoué à son métier qui est d’instruire, c’est-à-dire de construire des êtres humains conscients, libres d’assurer leurs destinées, est un acte de résistance contre la barbarie des fanatiques religieux qui n’ont pas cette liberté de pensée que donne l’instruction publique, contre les porteurs de haine prêts à vouer aux gémonies une partie de la population.

Le Conseil municipal de Coaraze témoigne à la famille de Samuel Paty sa profonde solidarité dans cette cruelle épreuve.

Le combat pour la Démocratie est un éternel recommencement, il doit faire face à toute sorte d’attaques qu’elles soient politiques, religieuses, économiques, sociétales, climatiques et virales.

Le terrorisme religieux n’a pas de limite pour arriver à ses fins. Attentat après attentat il devient évident que le pays des Lumières est une cible idéale pour : briser la France, nation des droits de l’Homme.

Mais les formes de lutte contre ce terrorisme peuvent être tout aussi dangereuses si les « solutions » sont des réactions xénophobes engagées par la peur ou par la manipulation, si la remise en cause des institutions républicaines et de l’État de droit se généralise.

Pendant la guerre de 14-18, il y avait ceux qui étaient au front dans l’odeur de mort et dans la boue et les autres, à l’arrière, sans doute inquiets, souffrants de la séparation, mais rattachés à un quotidien vivable.

De nos jours, les fronts sont au coin de la rue ; situation beaucoup plus troublante et déstabilisante. Cette individualisation de la violence terroriste est un fait inéluctable.

Comment relever ce défi ? Comment ne pas stigmatiser toute une population qui n’a rien demandé, seulement parce qu’elle croit autrement ? Comment ressouder une société qui s’est divisée déjà depuis longtemps, qui a créé ses propres foyers de non-droit ? Comment redonner à la laïcité le rôle qu’elle n’aurait jamais dû perdre ?

  • Affronter avec la plus extrême vigueur les actes abominables, les lois existent déjà, il faut en faire meilleur usage.
  • Combattre la haine en ligne, en freiner les effets nocifs diffusés sur les réseaux sociaux : ce sont eux qui rapportent le plus aux grandes boîtes de diffusion. La liberté d’expression n’est pas la liberté de faire du buzz sans en mesurer les effets. Aucun contrôle n’est en place contre ces déchainements de haine. Chacun libère ses affects et ses passions tristes qui peuvent avoir des conséquents terribles dans la vie des gens. Provoquer (solution de facilité !) n’est pas la solution. Humilier et nier l’identité des gens non plus.
  • Supprimer les inégalités qui entrainent une population vers une spirale infernale et qui peut finir par voir dans l’extrémisme religieux une solution pour exister.

Cette époque tendue a besoin de dialogue, de connaissance et de réflexion ; l’actuelle surenchère médiatico-politicienne n’est pas un signe d’avancée. Il faut pouvoir nommer les choses clairement et ne pas créer d’amalgames tendancieux. Camus disait : «  mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. »

En 14-18, le retour à la paix aura attendu quatre ans. Et il aura fallu plusieurs années pour reconstruire le cœur des hommes et des femmes. Combien en faudra-t-il pour retrouver une société sereine et épanouie en ce début de XXI e siècle ?

La solidarité, la compréhension, la raison, le bon sens ne doivent rien lâcher. Ce n’est pas une fatalité si nous en sommes là : un virus qui met le monde à genou, des désastres climatiques qui font très mal, des fanatiques qui s’attaquent à la démocratie, des mesures de plus en plus liberticides… cela fait beaucoup , aura-t-on l’esprit assez éclairé pour surmonter ce marasme ?

Bégaiement de l’histoire : crises, austérité, inégalités croissantes, conflits, famine, dégradation du milieu naturel et du climat, terrorisme… nous vivons encore dans une société anxiogène, une société qui angoisse tout comme à l’ époque de la Grande guerre.

En 1929 Freud disait qu’il existe des pulsions qui, dans notre vie en commun nous font rechercher des solutions à la souffrance. Certaines tendent vers la destruction et le repli sur soi, mais d’autres privilégient les relations d’ouverture et de coopération : des citoyennes et des citoyens réagissent, décident de prendre l’initiative. et Localement, chacun dans son domaine, trouvent des solutions aux défis de notre époque ; des solutions qui marchent, des solutions qui n’attendent pas tout du pouvoir centralisateur.

Dans cette société mondialisée, surinformée, surinformatisée et où le respect de l’humain est défaillant ;

Dans ce monde masqué, qui ne demande qu’à respirer ;

Être vigilant pour la liberté de tous ;

Être solidaire pour une égalité partagée ;

Être respectueux de l’autre pour la fraternité des hommes ;
sont les valeurs indispensables pour une démocratie viable

Vive la République, vive la France, vive Coaraze !”

Monique Giraud-Lazzari
Maire de Coaraze

Décoration participative à l’arbre de Noël Coarazien!

Noël approche et notre village sera bientôt décoré et illuminé, par la municipalité mais aussi par ses habitants, pour lui donner un air de fête dans un esprit chaleureux !

Chacun est donc invité à participer à la décoration de Noël de la commune, devant chez soi bien sûr, mais aussi en confectionnant une décoration selon son imagination à venir fixer sur l’arbre de Noël municipal !

Bien entendu, il sera demandé à chaque personne de ne prendre aucun risque pour sa santé et il en sera de même pour accrocher les décorations, cette opération devant se faire à bout de bras, selon sa propre hauteur.

Pensez à la conception de votre décoration qui devra résister aux conditions climatiques hivernales. Les décorations en verre seront interdites en regard de la casse et des blessures qu’elles pourraient occasionner.

Créer à partir de matériaux de récupération tels que bois, tissu… est aussi un bon moyen de sensibiliser petits et grands au recyclage!

La Maison du Patrimoine rouvre ses portes

Après un mois de fermeture, comme tous les lieux jugés « non essentiels » en période de confinement, La Maison du Patrimoine – Ostau dau Patrimòni accueille à nouveau Coaraziennes et Coaraziens, comme visiteuses et visiteurs depuis le samedi 28 novembre.

Point d’information sur les richesses patrimoniales aussi bien que sur les possibilités de randonnées et sur les hébergements, La Maison du Patrimoine – Ostau dau Patrimòni permet aussi :

    • de découvrir les productions locales fort diverses : miels, confitures, crème de marron, pâte d’olives, bières et autres plaisirs gustatifs ; créations en céramique ou en bois ; bijoux ; savons …
    • de satisfaire sa curiosité des musiques d’ici parmi un choix de CDs
    • d’enrichir sa bibliothèque d’ouvrages permettant de mieux connaitre Coaraze – son histoire, son architecture, sa flore, sa langue, ses talents – mais aussi les Paillons, le Mercantour, Nice et de plonger dans le riche catalogue de l’Amourier éditions, maison d’édition installée depuis plus de trente ans au village
    • de faire le plein de cartes postales

La Maison du Patrimoine – Ostau dau Patrimòni offre ainsi aux artistes et aux artisans locaux une vitrine de leurs créations et productions… plein d’idées cadeaux pour les fêtes de fin d’année!

>> Plus d’infos sur l’art et l’artisanat à Coaraze

 

Maison du PatrimoineOstau dau Patrimòni
Place du Portal
04 93 79 37 47
officedutourismecoaraze@orange.fr
www.facebook.com/li.luernas.9

Horaires d’ouverture (hiver)
mardi, mercredi, vendredi de 10h à 13h et de 14h30 à 16h
samedi de 9h à 13h et de 14h30 à 17h

>> Plus d’infos sur La Maison du Patrimoine – Ostau dau Patrimòni

Des vacances de Toussaint sur le thème d’Halloween à l’APEEC

Malgré les protocoles sanitaires, les vacances de Toussaint se sont bien déroulées à l’APEEC avec de nombreuses activités proposées : cuisine, potion magique, chasse aux bonbons, handball, tournoi de baby-foot…

Une vingtaine d’enfants a quotidiennement fréquentée la structure durant ces deux semaines, accueillis par l’équipe d’animation composée d’Allison, Priscilla, Clémentine, Rémy, Simon et Benoit.

Juste avant le confinement, les ados ont pu participé à une sortie sur un site d’escalade indoor et participer à un Escape Game.

 

Retour sur le concert de Sam Karpiena et Pauline Willerval

Samedi soir 26 septembre la chaleur de l’ambiance compensait la fraicheur de la température pour les Coaraziennes, Coaraziens et leurs amiˑes qui se sont retrouvées au jardin Piovano.

Au départ, Lucien Massucco propose à Sam de faire un disque sur son nouveau label “Fatto in casa” : un disque de Sam Karpienia et pas de Dupain. Sam propose alors de reprendre les textes de “L’Usina” sorti en 2000: des chants ouvriers puissants lancés contre la vague capitaliste, portés par la voix enfiévrée de Sam Karpienia.

En 2018, Sam rentre solo en résidence à Coaraze. Une semaine plus tard, l’artiste décide d’y joindre Pauline Willerval qui joue de la Gadulka, un violon bulgare à la sonorité typique. Elle fait partie de plusieurs groupes et partage souvent la scène avec Rodolphe Burger ou Erik Marchand.

L’Usina nouvelle version est donc revenue chez les ouvriers. Les moyens ne sont pas les mêmes mais la créativité est intacte. Moins brutal, moins direct qu’avec Dupain, cette création est plus intimiste, plus personnelle et va exploiter d’autres sphères. Portée par les cordes des mandoles et d’un violon bulgare, cette véritable création prouve encore la richesse d’un artiste toujours aussi inventif, engagé et généreux.

Pour celles et ceux qui ont eu le bonheur de voir – et surtout d’entendre – Sam Karpiena le 26 septembre dernier sous les oliviers de Piovano de Coaraze à l’occasion de la sortie de son nouvel album “Basta de Trabalhar”… et pour les autres qui l’on raté, cet article sur www.france3-regions.blog.francetvinfo.fr/ecoute-voir

>> Plus d’infos sur www.fattoincasa.fr

Un moment rare de poésie mise en musique à Coaraze

Jacques Henri écrit depuis des années de la poésie. Poèmes qu’il souhaitait pouvoir accompagner musicalement lorsqu’il les récite. Et la rencontre tant attendue s’est produite l’été dernier, quand Lucien Massucco a mis en relation Jacques Henry et Jean-Louis Ruf.

Une semaine en résidence à la salle Guïu Pelhon, du 19 au 24 octobre, a permis au trio formé par Jacques Henri, Jean-Louis Ruf et Lucien Massucco, de mettre en musique 35 textes du premier recueil de Jacques “Barrissements”.

Vendredi 23 octobre, une écoute des enregistrements – suivie d’un échange autour du travail réalisé – offerte au public a permis aux privilégiés qui ont fait le déplacement jusqu’au sommet du village de goûter un moment rare.

 >> Plus d’infos sur www.uncertainjacques.fr

Coaraze au départ de la seconde édition du Festival Vocàlia dals Palhons

C’est assez naturellement que la deuxième édition du Festival occitan Vocàlia dals Palhons a débuté cette année à Coaraze, commune labellisée “Òc per l’occitan”, avant de descendre les vallées jusqu’à Nice, en passant par Luceram et Cantaron.

Ràdio Nissa Pantai – en collaboration avec Ràdio Occitània et Ràdio Lenga d’Òc – avait donc installé ses micros le 24 septembre dernier pour accueillir Christian Bezet, parrain du festival, Noël Delfin de Lu Barbalùcou et Maneu Mari de Un Giro mé lu Vièlhs, ancien champion du monde de Pilo, pour parler – entre autre – de Pilo ! Un jeu niçois dont Coaraze est devenue la capitale en organisant depuis plus de trente ans le Campionat dau monde chaque année au mois de juillet.

>> Plus d’infos sur les associations de Coaraze

>> Plus d’info sur le label Òc per l’occitan à Coaraze

Résidence poétique et musicale de Jacques Henri du 19 au 24 octobre

Jacques Henri,  alias Jacques Jaudon, sera en résidence de travail dans la salle Guy Pehlon, pour la mise en musique de ses poèmes, réunis dans son recueil « Barrissements ».

Du lundi 19 au samedi 24 octobre, Jean-Louis Ruf, auteur-compositeur, et Lucien Massucco prêteront leurs talents à ce projet, qui unira la voix – parlée, clamée, chantée – aux textes et à certains tableaux de l’artiste.

Un concert gratuit de fin de résidence sera offert le vendredi 23 octobre 2020 à la salle Guy Pelhon.

>> Plus d’infos sur www.uncertainjacques.fr

Maintien du service périscolaire à l’APEEC dès le 2 novembre

“Chers parents,

L’APEEC maintient son service périscolaire dès lundi 2 novembre et ce jusqu’à nouvel ordre:

  • du lundi au vendredi matin : 7h-8h30, après-midi : 16h30-18h30
  • le mercredi : 7h30-18h30 (inscription ci-dessous)

Le masque est obligatoire pour tous les enfants à partir de la classe de CP, l’APEEC ne fournira pas de masques, un enfant sans masque de +6ans ne pourra pas être accueilli.

L’activité Hip-hop est maintenue, port du masque obligatoire.

Les ateliers poterie enfants avec Annie sont maintenus, seuls les enfants inscrits à l’APEEC pourront y participer, aucun accueil d’enfants venant en EVS comme avant.

N’oubliez pas votre attestation pour venir chercher vos enfants.

Benoît Balayé
Directeur de l’APEEC